Le soleil de justice brille sur ceux qui se lèvent et sortent de l’ombre.

Publié le par Fils d'Abraham en Jésus mon sauveur

 

Esaïe 60-1 et 2 : Lève toi, brille : ta lumière arrive, la gloire du SEIGNEUR se lève sur toi.

 Certes, les ténèbres couvrent la terre et une obscurité épaisse recouvre les peuples ; mais sur toi le SEIGNEUR se lève, sur toi sa gloire apparaît.

Dans le naturel, tant que je me tiens assis dans l’ombre je ne peux bénéficier du soleil et de ses bienfaits. Il en ait de même dans le spirituel : se lever, sortir de l’ombre et se tenir dans la foi. Se lever cela  signifie changer de mentalité, d’attitude, croire Dieu et sa parole.

 

Voici l’exemple d’un jeune homme qui se tenait couché dans l’ombre de la mort physique et spirituelle. Plusieurs fois déjà auparavant il avait connu la porte de la mort. Son nom est Lester Sumrall. Témoignage de Lester Sumrall: je me rendais bien compte que j'avais échappé de justesse à la mort, mais à présent, tandis que le médecin quittait la maison familiale pour établir mon certificat de décès, j'ai cru que la chance  m'avait abandonné, que la fin était arrivée.

À cet instant précis, Dieu m’a accordé une vision. C'était l'événement le plus grandiose et le plus significatif  que j'aie jamais vécu. J'ai jeté un regard sur le côté droit de mon lit, et la, suspendu à mi-hauteur, il y avait un cercueil. Je ne rêvais pas, je ne dormais pas. C'était une image claire, éclatante et bien réelle. Elle était même belle. L'intérieur du cercueil était tapissé de satin. Tout autour, il y avait des lys blancs et des roses rouges.  Le cercueil a effectué une petite rotation et j'ai pu voir l'intérieur. Il était vide mais j’ai été grandement impressionné, car il était juste à ma taille.

Je n'avais jamais eu de vision auparavant et j’aie eu peur. Je me suis tourné sur le côté gauche en espérant y échapper. Et la, à ma gauche à mi-hauteur au-dessus de mon lit se trouvait une bible ouverte. Elle était aussi grande que mon lit, je n'avais jamais vu de livre de cette importance. Et sans avoir entendu la moindre parole, J’ai su ce que signifiait cette Bible : J’étais appelé à prêcher.

Dieu m'a parlé à cet instant, tandis que je jetais un regard furtif et fébrile du côté du cercueil, puis du côté du livre ouvert « Lester, que choisis tu ce soir ? »

Dieu me donnait le choix. Je n’étais pas prêt à mourir, je voulais vivre à tout prix. Fixant les regards sur la bible. J'ai prié « Dieu, s'il n'y a pas au monde d'autres moyens que prêcher pour que je vive, eh bien je prêcherai » je lui ai donné mon cœur, j'ai accepté  son appel et son plein salut. L’affaire était réglée. Malgré ma faiblesse je me suis levé. Cet homme a exercé Son ministère de prédicateur dans plus de 100 pays.

Citons encore  le cas d'une femme qui s'est levée  pour sortir  de l'ombre de la mort ou d'un  pays où règnent les ténèbres : Ruth

Elle habite le pays Moab, ce qui signifie : issu du Père, c'est-à-dire d’un inceste entre Lot est l’une de ses filles. Ce pays est maudit. Ruth appartient à ce peuple, elle vit dans l'ombre de la mort et sous la malédiction.

Une famille juive de Bethlehem fuie la famine qui y sévit, c’est à dire le pays de la promesse, pour venir habiter ce pays de Moab, pays  de malédiction. Cette famille est composée des deux parents et de leurs deux fils. Les  deux fils épousent des Moabites, ce qui est contraire aux lois de Dieu : Ruth et Orpa.

 Le père meurt et les deux fils aussi. Les trois femmes restent veuves. La maman nommée Naomi, décide de rentrer à Bethléem. Elle apprend que la famine  est passée. L'une de ses belles-filles, Ruth, décide de quitter son peuple, sa famille, ses dieux, sa culture pour s'attacher à sa belle-mère, au Dieu de sa belle-mère, au pays de sa belle-mère. Naomi la presse de rester dans son pays, voici la réponse de Ruth :

Ruth : 1-16 à 18 : Ruth répondit : Ne me presse pas de te laisser, de retourner loin de toi ! Où tu iras, j’irai, où tu demeureras, je demeurerai ; ton peuple sera mon peuple, et ton Dieu sera mon Dieu ;

 Où tu mourras, je mourrai, et j’y serai enterrée. Que l’Eternel me traite dans toute sa rigueur, si autre chose que la mort vient à me séparer de toi !

 Naomi, la voyant décidée à aller avec elle, cessa d’insister auprès d’elle.

Ruth va aller glaner dans le champ de Boaz, qui symbolise Jésus. Elle va devenir son épouse. Et aujourd'hui parce qu'elle s'est levée pour sortir du pays des ténèbres, de la mort, de la malédiction, nous le retrouvons dans la lignée qui va donner naissance à Jésus.

 Dieu n’a pas changé, il est le même. Et encore aujourd’hui jésus, à vous (à moi) qui lisez ce message, pose la même question qu’à Lester Sumrall : Que choisis tu aujourd’hui? La mort ou la vie ?

Voici ce que jésus, le soleil de justice, dit de lui-même : Luc 4- 18 à 19 L’Esprit du Seigneur est sur moi, Parce qu’il m’a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres ; Il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé

 Pour proclamer aux captifs la délivrance, Et aux aveugles le recouvrement de la vue, Pour renvoyer libres les opprimés, Pour publier une année de grâce du Seigneur.

Le soleil de justice brille dans la vie de ceux qui combattent : Certes il est bon et indispensable de passer par Capernaüm la ville de la consolation, mais nous ne sommes pas appelés à nous y établir. Capernaüm a vu beaucoup de miracles. Pourtant Voilà ce que Jésus dit de cette ville : Matthieu 11 – 23 :

 

Et toi, Capernaüm, seras tu élevée jusqu’au ciel ?

Non. Tu seras abaissée jusqu’au séjour des morts ; car, si les miracles qui ont été faits au milieu de toi avaient été faits dans Sodome, elle subsisterait encore aujourd’hui. L’histoire nous apprend que Capernaüm a été détruite par un tremblement de terre en l’an 748.

Les miracles n'ont pas changé le cœur de cette ville, ni les cœurs des habitants de cette ville, ils ne se sont pas repentis. Les miracles sont très importants, ils font partie du naturel de Dieu, la consolation est très importante. Ceci permet de fortifier notre foi,  de guérir nos corps,  nos infirmités,  nos émotions blessées, nos âmes.

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