la pensée linéaire et la pensée orientale ou en spirale qui nous élève.

Publié le par Fils d'Abraham en Jésus mon sauveur

 Là encore nous trouvons en Dieu, la pensée linéaire et la pensée orientale ou en spirale qui nous élève.

La pensée linéaire : la venue de Jésus devait se produire environ cinq siècles plus tard.

La pensée en spirale : Dieu est un grand pédagogue, en préparant ainsi Son peuple, pour la venue de Jésus, par une fête, c'est-à-dire dans la joie, Dieu élève le coeur de son peuple, vers lui. C'est-à-dire vers le haut ou les choses d'en haut.

Pourquoi ce décret devait entrer en vigueur le 13e jour du 12e mois de l'année juive ou biblique ?

Souvenons nous que ce 12e mois se nomme Adar, ce qui signifie : dans la gloire, ou être dans la gloire. Ce peuple devait connaître la gloire de Dieu. Souvenons-nous que nous sommes la veille du 14 : jour de joie, de victoire, mais aussi de la manifestation de la gloire. Or un peuple qui expérimente la gloire de Dieu, vit dans la gloire de Dieu, dans les miracles c'est un peuple reconnaissant, qui vit dans la crainte de Dieu. Mais aussi un peuple qui adore son Dieu. Le diable cherche à voler l'adoration qui est due à Dieu par son peuple, pour se l'attribuer à lui-même.

Le 12e mois où le dernier de l'année, c'est le temps de la reconnaissance, le temps de compter tous les bienfaits de Dieu pendant cette année.

Le 12e mois, ou dernier mois de l'année, symbolise également la fin de l'attente d'un grand jour de joie : l'enlèvement, par Jésus, de tous ceux qui lui appartiennent, de tous ceux qui ont conservé leur passion pour Jésus, le premier amour pour Jésus, de tous ceux qui sont demeurés dans la fidélité et le service malgré les épreuves, les ébranlements, les afflictions, les menaces de déstabilisation dans la foi. C’est le temps de la séparation, selon Matthieu 25, dans la parabole des dix vierges : cinq d’entre elles étaient sages, cinq étaient insensées. Nous savons que les sages ont été enlevées, et les cinq insensées sont restées.

Enfin le 14e jour du premier mois de l'année biblique annonce le temps de la première moisson, c'est-à-dire la moisson de l'orge.

Exode 34-18 : Tu observeras la fête des Pains sans levain : pendant sept jours, au temps fixé, au mois des épis, tu mangeras des pains sans levain, comme je te l’ai ordonné, car c’est au mois des épis que tu es sorti d’Egypte.

En Israël il y a trois grandes moissons, selon la bible, la première moisson, nous venons de le dire, c'est la moisson de l'orge ou les prémices des différentes moissons.

La deuxième moisson, celle du blé, se situe au temps de la Pentecôte, c'est-à-dire le temps où Dieu s'est manifesté à son peuple sur le mont Sinaï pour lui remettre sa loi. Elle se récolte le troisième mois de l'année.

Enfin la dernière de toute moisson c'est-à-dire la récolte des fruits, se situe au temps de la fête des tentes ou des tabernacles.

Ces trois moissons, on toute une signification spirituelle importante. Chacune d'elle devait être précédée par une offrande comme prémices à l'éternel. Ceci consistait à prélever une gerbe avant de commencer la moisson et de l'offrir à l'Eternel comme prémices, c'est-à-dire cette offrande était sanctifiée, mise à part pour Dieu. À partir de ce jour, où les prémices avaient été sanctifiées par l'offrande à Dieu, tout le champ, ou toute la récolte de ce champ était sanctifiée. C'est à dire mise sous le regard de Dieu, la protection de Dieu, la bénédiction de Dieu, la faveur de Dieu. Il en était de même pour Chacune des trois moissons. Jamais les Hébreux ne commençaient l'une de ses moissons sans avoir honoré Dieu par cette offrande des prémices. D’ailleurs c’est un fête qui porte le nom de : Fête des prémices (le 15 du mois de Nisan)

Lévitique 23- 9 à 11 : L’Éternel parla à Moïse et dit :

10  Parle aux Israélites ; tu leur diras : Quand vous serez entrés dans le pays que je vous donne, et que vous y ferez la moisson, vous apporterez au sacrificateur une gerbe, prémices de votre moisson.

11  Il fera devant l’Éternel le geste de dédier la gerbe, afin qu’elle soit agréée pour vous ; le sacrificateur fera le geste de la dédier le lendemain du sabbat. Ceci doit nous interpeller pour nos revenus, qui sont la moisson de notre travail. Offrir la dîme de nos revenus comme prémices, permet à Dieu de bénir toute la partie qui nous reste. Comme il bénissait, sanctifiait la reste de la moisson, après le prélèvement des prémices.

 L’évangile de Jean attire notre attention sur l’orge lors de la multiplication des pains : Jean 6-9 : il y a ici un jeune garçon qui a cinq pains d’orge. Ceci mérite un développement, mais ce n’est pas le but ici.

Ces trois moissons, on toute une signification spirituelle importante.  Elle nous montre que Dieu nous demande de le mettre le premier  dans tous les domaines de notre vie. Répétons-le car c’est important. Chacune moisson devait être précédée par une offrande comme prémices à l'Eternel. Ceci consistait à prélever une gerbe avant de commencer la moisson et de l'offrir à l'Eternel comme prémices, c'est-à-dire cette offrande était sanctifiée, mise à part pour Dieu. À partir de ce jour, où les prémices avaient été sanctifiées par l'offrande à Dieu, tout le champ, ou toute la récolte de ce champ était sanctifiée. C'est à dire mise sous le regard de Dieu, la protection de Dieu, la bénédiction de Dieu, la faveur de Dieu. Il en était de même pour Chacune des trois moissons. Jamais les Hébreux ne commençaient l'une de ses moissons sans avoir honoré Dieu par cette offrande des prémices.

Chacune de ces moissons dans le naturel annonce et nous parle d'une moisson spirituelle.

La moisson de l'orge, nous l'avons dit représente les prémices des trois grandes moissons. Sur le plan spirituel et l'annonce de la première moisson des âmes, les prémices offertes à Dieu.

Elle annonce la résurrection de Jésus, le premier-né d'entre les morts. Jésus et ressuscité le lendemain du shabbat de la fête de Pâques, c'est-à-dire le 15e jour du mois de Nisan. C'est ce même jour que la gerbe des prémices de la moisson d'orge devait être présenté devant l'éternel. C'est ce même jour que Jésus ressuscité est remonté vers le père pour offrir son sang et purifier les lieux célestes. Mais Jésus n'est pas vraiment un seul point

Matthieu 27 -- 50 à 53 nous dit : Et Jésus, ayant de nouveau crié d’une voix forte, rendit l’esprit.

  En même temps, le voile du temple se déchira en deux, depuis le haut jusqu’en bas, la terre trembla, les rochers se fendirent,

 Les sépulcres s’ouvrirent, et plusieurs corps de saints qui étaient morts, ressuscitèrent ;

Et étant sortis de leurs sépulcres après sa résurrection, ils entrèrent dans la sainte cité, et ils furent vus de plusieurs personnes.

Que ce que sont devenus ces saints ressuscités, ont-ils recommencé une nouvelle vie sur terre ?

 Sont-ils montés vers Dieu ? La réponse est non à ces deux questions : ils ne pouvaient se présenter devant Dieu puisque la route était fermée. Jésus devait en inaugurer une nouvelle après sa résurrection. Alors ils sont attendus que Jésus soit ressuscité. Et Jésus les a emmener avec lui pour les présenter au Père comme prémices de la première résurrection. Jésus ne pouvait pas se présenter tout seul dans le Père en qualité de souverain sacrificateur, bien sûr il est monté avec son sang. Mais ils devaient présenter une gerbe des premiers ressuscités avant de commencer la grande moisson du blé, comme le sacrificateur dans le temple.

La moisson du blé, sur le plan spirituel représente la belle moisson,  c'est-à-dire l'enlèvement. À nouveau pour cet événement Jésus reviendra chercher tous ceux qui se sont préparés pour cette grande moisson. À nouveau Jésus présentera à son Père cette grande moisson.

La troisième moisson, celle des fruits, sur le plan spirituel représente tous ceux qui seront sauvés à travers la grande tribulation et Israël bien sûr :

Apocalypse 7- 13 et 14 : Et l’un des vieillards prit la parole et me dit : Ceux qui sont revêtus de robes blanches, qui sont ILS, et d’où sont ILS venus ?

14  Je lui dis : Mon seigneur, tu le sais. Et il me dit : Ce sont ceux qui viennent de la grande tribulation ; ils ont lavé leurs robes, et ils les ont blanchies dans le sang de l’Agneau.

Romains 11- 25 à 26 : Car je ne veux pas, frères, que vous ignoriez ce mystère, afin que vous ne vous regardiez point comme sages : une partie d’Israël est tombée dans l’endurcissement, jusqu’à ce que la totalité des païens soit entrée.

 Et ainsi tout Israël sera sauvé, selon qu’il est écrit : Le libérateur viendra de Sion, Et il détournera de Jacob les impiétés ;

 Et ce sera mon alliance avec eux, Lorsque j’ôterai leurs péchés. Dieu veut que nous soyons en parfaite connaissance de toutes ces choses, il veut nous les  révéler pour que notre ignorance ne soit pas une porte ouverte dans nos vies. Car le diable connaît nos faiblesses, les faiblesses de nos familles, les faiblesses d'un responsable, d'une assemblée, et c'est là qu'il vient attaquer. Une de ses stratégies c’est la patience, faire croire qu'il nous a « oublié ». Il attend le bon moment : lorsque nous ne sommes plus vigilants. C'est pour cela que le chrétien isolé est vulnérable. Nous sommes fort en groupe, là où il y a unité dans l'amour, bien sûr, mais à condition que ce soit dans l'Esprit.

Connaissons bien qui est notre Dieu, ses promesses, sa parole et pratiquons là. Soyons comme Jésus qui a été tenté dans son point faible : la faim après 40 jours de jeûne. Jésus ne craignait rien car il était plein de la parole, c'est-à-dire de flèches acérées pour faire fuir le diable.

Le personnage de Mardochée nous enseigne beaucoup, sur la vigilance, l'assurance, la disponibilité, le zèle dans l'Esprit, la foi, la persévérance.

 

 

 

 

 

 

 

 

Publié dans Parolevivante

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