Rendons à Valentin la fête de la saint Valentin
Le 14 février, un peu partout dans le monde on fête la Saint Valentin, la fête des amoureux. C’est une bonne occasion pour se dire des mots doux, s’envoyer des petits cadeaux et ça relance le commerce !
Autrefois, c’était la fête de l’amour et de la fertilité, avec le calendrier romain, c’est devenu la Saint Valentin. Valentin était au 3e siècle un chrétien d’une grande vertu dont la réputation parvint jusqu’aux oreilles de l’empereur Claude qui le fit emprisonner et le somma d’abandonner sa foi en Jésus-Christ pour adorer les dieux Mercure et Jupiter. Valentin lui fit remarquer que ces dieux vivaient une vie misérable dans le luxe et la volupté sans se soucier de la misère humaine alors que Jésus Christ avait aimé les hommes et offert sa vie en sacrifice pour les sauver.
Saint Valentin était prêtre à la réputation limpide sous l'empereur de Rome Claude II. Son influence était telle qu'elle dérangeait profondément les haut-dignitaires de l'Empire. Mais à son écoute, même l'empereur et ses juges étaient retournés et ses paroles captivantes.
Condamné par le préfet Calpurnius pour blasphème contre les dieux de Rome, le prêtre est alors emmené par le juge Astérius qui lui laisse une dernière chance de s'expliquer: si Jésus-Christ est vraiment la lumière du monde, alors qu'il redonne la vue à sa fille adoptive. Dieu répondit à la prière du saint; et toute la famille du juge donna sa vie au Seigneur Jésus et se fit baptiser.
Entendant cela et craignant une sédition dans Rome, et, par raison d'Etat, il fit prendre Astérius et tous ceux qui avaient été baptisés, puis les fit mettre à mort par diverses sortes de tourments. Pour Valentin, le père et le maître de ces bienheureux enfants et disciples, après avoir été longtemps en une étroite prison, il fut battu et brisé avec des bâtons noueux ; enfin, l'an 268, le 14 février, il fut décapité sur la voie Flaminienne, qui était une voie importante de Romme.
Francis Cabrel chantait : l’amour tout le monde y pense , les hommes, les anges, les vautours, ya plus de distance…
Tout le monde y pense, mais est ce que tout le monde sait de quoi il s’agit ? La plupart du temps nous confondons l’amour avec le sexe. C’est beaucoup plus que ça ! Dans la Bible l’apôtre Paul nous en parle :
Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas l’amour, je suis un cuivre qui résonne, ou une cymbale qui retentit. Et quand j’aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j’aurais même toute la foi jusqu’à transporter des montagnes, si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien. Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, si je n’ai pas l’amour, cela ne me sert de rien. L’amour est patient, il est plein de bonté; l’amour n’est pas envieux; l’amour ne se vante pas, il ne s’enfle pas d’orgueil, il ne fait rien de malhonnête, il ne cherche pas son intérêt, il ne s’irrite pas, il ne soupçonne pas le mal, il ne se réjouit pas de l’injustice, Mais il se réjouit de la vérité; il excuse tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout. 1 Corinthiens 13 : 1 à 7
Cet amour là, aucun homme ordinaire n’en est capable, mais Jésus nous l’a apporté, il nous a aimé jusqu’au bout en offrant sa vie en sacrifice pour expier nos péchés et nous réconcilier avec Dieu. Il est ressuscité. Si toi aussi tu veux être habité par cet amour parfait, l’amour de Dieu, demande à Jésus de venir prendre la première place dans ton cœur pour qu’il vienne insuffler en toi cet amour parfait, l’amour de Dieu, car Dieu est Amour. C’est le but de toute notre existence.
Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. Dieu, en effet, n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu’il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. Celui qui croit en lui n’est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. Jean 3 : 16 à 18