Dans quel bateau choisis-tu de naviguer?
Dans le bateau de Satan ou le bateau de Dieu ?
Tous nous naissons dans le bateau de Satan. À l'exception d’Adam et Eve qui ont vu le jour dans le jardin d'Éden c'est-à-dire le bateau de Dieu. Mais ils se sont laissés piquer par la ruse du serpent. Ils ont reçu son venin mortel. Ce qui les a entraînés dans la mort à la suite d’un mensonge qu’ils ont écouté. Ils ont quitté le bateau de Dieu pour se retrouver captif dans le bateau de Satan. C'est la raison pour laquelle maintenant nous naissons tous dans le bateau de Satan. Nous avons la liberté ou plutôt nous avons le choix de rester dans ce bateau ou d'en sortir. Toutefois nous avons tous la possibilité, par le don de la vie de Jésus et la puissance de son sang de sortir de ce bateau qui nous emmène à l'échec, à la mort. Pour cela il nous faut accepter le sauvetage et la place qui nous est réservée dans le bateau de Dieu.
Dieu a un grand plan d’amour, de bonheur et de vie pour chacun d'entre nous : Jérémie 29 : 11 Car je connais les projets que j’ai formés sur vous, dit l’Eternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l’espérance.
Satan a pour chacun d’entre nous un contre plan, de mort et destruction basé sur le mensonge : Genèse 3 : 4 et 5 Alors le serpent dit à la femme : Vous ne mourrez point ; mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme Dieu, connaissant le bien et le mal.
Le mensonge, tricher, l’orgueil, la colère doivent être considéré une conséquence du venin du serpent.
La destination de ces deux bateaux n'est pas la même. Le bateau de Dieu nous amène vers le ciel et le bateau de Satan nous emmène vers l'enfer. Le plan de Dieu nous élève avec lui. Le plan du diable nous avilit nous entraîne toujours plus vers le bas, c'est-à-dire l'étang de feu. Il entraîne à vivre dans : l’inconduite sexuelle, l’impureté, débauche, idolâtrie, sorcellerie, hostilités, disputes, passions jalouses, fureurs, ambitions personnelles, divisions, dissensions, envie, beuveries, orgies et autres choses semblables. Je vous préviens, comme je l’ai déjà fait : ceux qui pratiquent de telles choses n’hériteront pas le royaume de Dieu.
Galates 5 : 19 à 21
Jésus par son œuvre à la croix nous ouvre le chemin de la vie, il nous offre une bouée de sauvetage, c'est à nous de l'accepter ou de l'ignorer.
Nous allons prendre l’exemple des migrants qui quittent leurs pays en espérant trouver la liberté et des conditions de vie meilleures en Europe. Les passeurs leur demande un prix très élevé afin de traverser la mer Méditerranée. Ils se retrouvent entassés sur des bateaux pneumatiques ou de vieux rafiots qui prennent l’eau, c'est-à-dire fragiles qui vont à la dérive et souvent chavirent à cause de la surcharge. C’est ainsi que des milliers de migrants sont morts noyés dans la mer.
Certains auront la chance de trouver un bateau qui les secourt, pour les emmener vers un pays qui acceptera de les accueillir. Souvent il faudra naviguer des jours et même des semaines avant de trouver un port et une terre ou un pays d’accueil.
Dans ces faits, le plan des passeurs ressemble au plan que Satan désire nous voir nous orienter : la mort. Pour ces passeurs, une seule chose les intéresse, le profit financier qu’ils peuvent en tirer afin de s’enrichir. Ce sont des ouvriers du diable. Cette situation ressemble à un passage de l’Apocalypse qui nous parle de commerce d’âmes et de corps d’hommes. Apocalypse 18 : 11à 13 : Et les marchands de la terre pleurent et sont dans le deuil à cause d’elle, parce que personne n’achète plus leur cargaison, cargaison d’or, d’argent, de pierres précieuses, de perles, de fin lin, de pourpre, de soie, d’écarlate, de toute espèce de bois de senteur, de toute espèce d’objets d’ivoire, de toute espèce d’objets en bois très précieux, en airain, en fer et en marbre, de cannelle, d’aromates, de parfums, de myrrhe, d’encens, de vin, d’huile, de fine farine, de blé, de bœufs, de brebis, de chevaux, de chars, de corps et d’âmes d’hommes.
Satan nous entraîne sur la voie large, la voie de la perdition. Jésus nous ouvre la porte du chemin étroit qui passe par la croix, afin de nous donner la vie éternelle, l'épanouissement.
Les passeurs sont les ouvriers de Satan que nous retrouvons dans la parabole de l’ivraie et du bon grain. Le bateau qui secourt symbolise le bateau de Jésus. Sauf que Jésus a un pays à nous offrir : son royaume
Le bateau de Jésus
Marc 4 : 35 à 41 : Ce même jour, sur le soir, Jésus leur dit : Passons sur l’autre bord. Après avoir renvoyé la foule, ils l’emmenèrent dans la barque où il se trouvait ; il y avait aussi d’autres barques avec lui. Il s’éleva un grand tourbillon, et les flots se jetaient dans la barque, au point qu’elle se remplissait déjà. Et lui, il dormait à la poupe sur le coussin. Ils le réveillèrent, et lui dirent : Maître, ne t’inquiètes-tu pas de ce que nous périssons ? S’étant réveillé, il menaça le vent, et dit à la mer : Silence ! Tais-toi ! Et le vent cessa, et il y eut un grand calme. Puis il leur dit : Pourquoi avez-vous si peur ? Comment n’avez-vous point de foi ? Ils furent saisis d’une grande frayeur, et ils se dirent les uns aux autres : Quel est donc celui–ci, à qui obéissent même le vent et la mer ?
Les conditions à remplir pour naviguer sur le bateau de Jésus
Matthieu 22 : 11 à 13 : Le roi entra pour voir ceux qui étaient à table, et il aperçut là un homme qui n’avait pas revêtu un habit de noces. Il lui dit : Mon ami, comment es-tu entré ici sans avoir un habit de noces ? Cet homme eut la bouche fermée. Alors le roi dit aux serviteurs : Liez-lui les pieds et les mains, et jetez-le dans les ténèbres du dehors, où il y aura des pleurs et des grincements de dents.
Car il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus.
Mais ce réveil a commencé par la morsure d'un serpent. Nous avons tous été mordu par le serpent ou la vipère dans le jardin d'Éden.
L'apôtre Paul est dans le trouble à cause de la désobéissance des autres. Cela nous arrive-il d'être dans le trouble à cause des autres, de leur choix ? Satan s'est servi de quelqu'un pour te faire du mal. Quelqu'un s'est laissé conduire par Satan pour s'attaquer à ta vie, dans le but de te détruire. C'est peut-être même un chrétien.
Lorsque le serpent nous mort on a le choix de se laisser affecter ou bien de demeurer dans la paix, la foi et l’amour. Satan s'est servit-il de quelqu'un pour te piquer ?, son venin est entré dans ton âme pour paralyser, te faire mourir il s'est servi de quelqu'un pour se moquer de toi, te voler, te battre, humilier… Oh ça fait mal ! Le dessein du mal c'est de continuer dans ta vie jusqu'à produire la mort. Le moment où quelqu'un adressait pour ça fait mal la douleur est réel mais le but final va beaucoup plus loin. Ce but c'est que la mort s'installe.
Heureusement, l'apôtre Paul avait un antidote à contre ce venin, composé de deux ingrédients actifs qui neutralisent le venin :
L’amour du Père
Le pardon.
Le venin de Satan c'est l'amertume. Alors prenons le temps de secouer notre main comme Paul pour laisser aller cet événement. Ce coup l'événement pour le jeter dans le feu, une fois pour toutes. Il sera brûlé par le feu et déclare : « moi je veux marcher vers l'avenir ».
Comment agit la vipère ?
La vipère se dissimule, elle manipule le, elle mort et répand son venin mortel dans les corps des personnes. Elles sont rusées comme un serpent. Ces personnes manipulent le savoir, les gens, ferma la porte du royaume, ferme la connaissance :
Le souci nous serons mordus par la vipère. A notre tour nous morderons comme la vipère avec notre langue : Romains: 3 : 11 à 14 : Nul n’est intelligent, Nul ne cherche Dieu ; Tous sont égarés, tous sont pervertis ; Il n’en est aucun qui fasse le bien, Pas même un seul ; Leur gosier est un sépulcre ouvert ; Ils se servent de leur langue pour tromper ; Ils ont sous leurs lèvres un venin d’aspic ; Leur bouche est pleine de malédiction et d’amertume.
Esaïe 59 : 5 : Ils font éclore des œufs d’aspic et tissent des toiles d’araignée. Celui qui mange de leurs œufs en meurt ; et, si l’on en brise un, il en éclot un cobra.
Aspic : morsures mortelles : antipoison : le sang de Jésus qui agit comme un antidote (antidote naturel, antidote spirituel)
L'apôtre Paul avait été prévenu des épreuves de la persécution qui l'attendait à Jérusalem. Actes 21 : 8-15 : Nous partîmes le lendemain, et nous arrivâmes à Césarée. Etant entrés dans la maison de Philippe l’évangéliste, qui était l’un des sept, nous logeâmes chez lui. Il avait quatre filles vierges qui prophétisaient. Comme nous étions là depuis plusieurs jours, un prophète, nommé Agabus, descendit de Judée, et vint nous trouver. Il prit la ceinture de Paul, se lia les pieds et les mains, et dit : Voici ce que déclare le Saint–Esprit : L’homme à qui appartient cette ceinture, les Juifs le lieront de la même manière à Jérusalem, et le livreront entre les mains des païens. Quand nous entendîmes cela, nous et ceux de l’endroit, nous priâmes Paul de ne pas monter à Jérusalem. Alors il répondit : Que faites-vous, en pleurant et en me brisant le cœur ? Je suis prêt, non seulement à être lié, mais encore à mourir à Jérusalem pour le nom du Seigneur Jésus. Comme il ne se laissait pas persuader, nous n’insistâmes pas, et nous dîmes : Que la volonté du Seigneur se fasse ! Après ces jours-là, nous fîmes nos préparatifs, et nous montâmes à Jérusalem.
Le récit des actes et notamment les chapitres 27 et 28 concernant la vie de Paul contient deux aspects :
-c'est le témoignage de vie de Paul
-cette histoire où ce témoignage est écrit pour notre enseignement aujourd'hui : 1 Corinthiens 10-11et 12 : Ces choses leur sont arrivées pour servir d’exemples, et elles ont été écrites pour notre instruction, à nous qui sommes parvenus à la fin des siècles. Ainsi donc, que celui qui croit être debout prenne garde de tomber !
Les évangiles nous parlent beaucoup de bateaux ou de barques, Un bateau n’est évidemment pas conçu pour rester immobile dans un port mais il doit lever l’ancre et voguer sur les eaux de la vie. En voici des exemples : Luc 5 : 3 à 6 : Il monta dans l’une de ces barques, qui était à Simon, et il le pria de s’éloigner un peu de terre. Puis il s’assit, et de la barque il enseignait la foule. Lorsqu’il eut cessé de parler, il dit à Simon : Avance en pleine eau, et jetez vos filets pour pêcher. Simon lui répondit : Maître, nous avons travaillé toute la nuit sans rien prendre ; mais, sur ta parole, je jetterai le filet. L’ayant jeté, ils prirent une grande quantité de poissons, et leur filet se rompait.
En voici un autre exemple : Marc 4 : 1 : Jésus se mit de nouveau à enseigner au bord de la mer. Une grande foule s’étant assemblée auprès de lui, il monta et s’assit dans une barque, sur la mer. Toute la foule était à terre sur le rivage.
La tempête apaisée Marc 4 : 35 à 41 : Ce même jour, sur le soir, Jésus leur dit : Passons sur l’autre bord. Après avoir renvoyé la foule, ils l’emmenèrent dans la barque où il se trouvait ; il y avait aussi d’autres barques avec lui. Il s’éleva un grand tourbillon, et les flots se jetaient dans la barque, au point qu’elle se remplissait déjà. Et lui, il dormait à la poupe sur le coussin. Ils le réveillèrent, et lui dirent : Maître, ne t’inquiètes-tu pas de ce que nous périssons ? S’étant réveillé, il menaça le vent, et dit à la mer : Silence ! Tais-toi ! Et le vent cessa, et il y eut un grand calme. Puis il leur dit : Pourquoi avez-vous si peur ? Comment n’avez-vous point de foi ? Ils furent saisis d’une grande frayeur, et ils se dirent les uns aux autres : Quel est donc celui–ci, à qui obéissent même le vent et la mer ?
Jésus et la barque de Jésus affronte le dieu de l’air, de la mer et de la terre ensuite.
Posons-nous la question suivante : les autres barques ont-elles subi les méfaits de la tempête ? La Bible ne le dit pas, mais ce qui est sûr, c’est qu’elles ont bénéficié du miracle de la tempête apaisée.
Image du monde, qui en combattant les chrétiens et nie l’existence de Dieu bénéficie de la prière, de la louange des chrétiens
Le bateau sur le lac de Galilée utilisés par les visiteurs en Israël
Dans le langage courant pour exprimer certaines situations, nous disons : nous sommes tous dans le même bateau !
Nous aussi nous avons à choisir notre bateau afin d'être conduits à bon port pendant notre destinée que nous passons sur terre. Nous sommes invités à choisir de rester dans le bateau du monde où de monter dans le bateau de Jésus où déjà une ancre est attachée dans les lieux célestes. Hébreux 6 : 19 : Cette espérance, nous la possédons comme une ancre de l’âme, sûre et solide ; elle pénètre au–delà du voile.
Nous aussi nous connaîtrons les tempêtes et même des naufrages. Nous aussi nous connaîtrons les vents favorables ou contraires avec le diable pour marcher avez Dieu.
La mer représente les nations qui s'inclineront devant l'Eternel comme nous le chantons : Toutes les nations se rassemblerons et s’inclineront devant le Seigneur.
L’apôtre Paul avait une vision qui consistait à gagner Rome pour Jésus. C'était sa destination une partie de son appel. Chacun d'entre nous, nous devons avoir une vision : gagner des âmes pour Jésus.
Attention aux bateaux que nous choisissons ou qui se présentent à nous, à l'origine de ce bateau : soit de l'arbre de vie ou de la de la connaissance du bien ou du mal. Attention aux marins qui dirigent ce bateau, aux marins qui prennent la fuite lorsque des difficultés se lèvent : Actes 27 : 30 à 32 : Mais, comme les matelots cherchaient à s’échapper du navire, et mettaient la chaloupe à la mer sous prétexte de jeter les ancres de la proue, Paul dit au centenier et aux soldats : Si ces hommes ne restent pas dans le navire, vous ne pouvez être sauvés. Alors les soldats coupèrent les cordes de la chaloupe, et la laissèrent tomber.
Qui en est le commandant des bateaux qui se présentent à nous ? Jésus-Christ ou Bélial ? 2 Corinthiens 6 : 15 : Quel accord y a–t–il entre Christ et Bélial ? ou quelle part a le fidèle avec l’infidèle ? ou le croyant et l’incroyant ?
Ce nom désigne Satan et signifie : vaurien, impiété, méchanceté.
La réussite de notre mariage en dépend, nos études, le succès dans notre travail, notre vie familiale. Attention aux amis que nous choisissons, fréquenteront
Sachons respecter et discerner les saisons de Dieu dans notre vie. Souvenons-nous que le vent favorable est toujours celui du Saint-Esprit.