Son fruit est doux à mon palais

Publié le par Fils d'Abraham en Jésus mon sauveur

- Cantiques des cantiques 2 : 3

Comme le pommier au milieu des arbres de la forêt tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes, j’ai désiré son ombrage, et m’y suis assise, et son fruit a été doux a mon palais (selon bible OTERSVALD), ou selon la bible parole vivante : un arbre à fruits au milieu de la forêt, voilà celui que j’aime parmi les jeunes hommes et  ses fruits sont doux à mon palais.

Que veux nous dire l’Epouse à travers ses paroles « un pommier au milieu de la forêt » ou encore : « un arbre à fruits au milieu de la forêt ». C’est la comparaison et la différence qu’elle voit entre son bien aimé : Jésus et les autres hommes. Posons-nous cette question :

Quelle différence y a t il entre un pommier planté au milieu d’une forêt  et les arbres qui la composent : Sapins, Cèdres, chênes, etc.? Tous le dominent en taille, en prestance, en stature. Tous s’élèvent fièrement vers le ciel. Le pommier fait figure de nain aux yeux de ces arbres.

Est-ce la place d’un pommier au milieu de tous ces arbres ?

 Non bien sur. De même, était ce la place de Jésus au milieu des deux brigands crucifiés, sur le mont Golgotha ? Humainement, non. Pour le Père et pour jésus, oui cela avait une grande importance, c’était le but de la mission de Jésus.

Pourtant, parmi tous ces arbres, le pommier est le seul qui porte des fruits et des bons : son fruit est doux, sucré, rafraichissant. Il les met généreusement à la disposition de tous ceux qui veulent bien se donner la peine de les cueillir.  Aucun des autres arbres ne produit des fruits. Ils sont stériles, ils n’ont que des feuilles à offrir. Les feuilles symbolisent les œuvres de la chair, qui seront détruites par le feu. Souvenons du figuier que Jésus a maudit. Jésus avait faim, mais ce figuier n’avait que des feuilles à lui offrir. Tous ces arbres de la forêt, autour du pommier, représente ou incarne l’esprit du monde. Tout comme son « pommier » ou son bien aimé, l’Epouse sait qu’elle est dans le monde, mais elle n’est pas du monde. Seul son pommier ou son bien aimé lui apporte la nourriture ou la semence  incorruptible de la parole. Même si son fruit est doux à son palais et parfois amer dans ses entrailles. Les autres arbres, elle sait qu’elle n’a rien à recevoir d’eux. Ils n’ont qu’une semence corruptible à lui offrir qui amène à la mort, selon :

1 Pierre 1-23 : puisque vous avez été régénérés, non par une semence corruptible, mais par une semence incorruptible, par la parole vivante et permanente de Dieu. Précisons que corruptible signifie périssable, corrompre et incorruptible signifie : impérissable, c'est-à-dire demeurer éternellement.

 A côté des autres arbres de la forêt, le pommier n’a ni beauté, ni éclats pour attirer nos regards et son aspect n’à rien pour nous plaire.  Cela nous rappel Jésus selon Esaïe 53-2 :

Car devant l’Eternel, il a grandi comme une jeune pousse ou comme une racine sortant d’un sol aride. Il n’avait ni prestance ni beauté pour retenir notre attention ni rien dans son aspect qui pût nous attirer.  Ou nous séduire (Bible du Semeur) Et c’est pourtant celui là que choisit l’Epouse.

Les autres arbres (sapins, cèdres, chênes), surpassent tous en taille le pommier, en hauteur, en longueur, tous ont un tronc élancé vers le ciel. Leur présentation est majestueuse, ils attirent les regards sur eux mêmes, séduisent, suscitent l’admiration par leur beauté. Ils manifestent l’orgueil, la suffisance, l’indépendance, l’individualisme ou la vanité des choses de la vie, ils se séduisent eux-mêmes, ils croient être quelque chose mais ils ne sont rien.

Les autres arbres ou les hommes qu’ils symbolisent n’ont pas la crainte de Dieu, ils ne connaissent pas la repentance, tout juste peuvent ils se tenir dans une relation émotionnelle, mais pas dans une relation d’alliance.

1 Jean 1- 16 et 17 : car tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, et l’orgueil de la vie, ne vient point du Père, mais vient du monde.

 Et le monde passe, et sa convoitise aussi ; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement.

 Nos chansons populaires présentent l’un de ces arbres comme roi de la forêt, surtout à une certaine époque de l’année. Ils prennent la place du Roi des rois. Ils symbolisent également  la rébellion, la séduction, l’orgueil ou le culte de l’ego, ils recherchent à recevoir l’adoration ou s’adorent eux même : Ezéchiel : 28- 17 : De ta grande beauté, tu t’es enorgueilli et tu as laissé ta splendeur pervertir ta sagesse. Je t’ai précipité à terre, et te donne en spectacle aux autres rois. Ils sont animés par cet esprit d’indépendance, chacun veut s’établir comme empereur et constituer son propre empire. Selon Matthieu 3-10 : déjà la hache est à la racine de ces arbres.

 

Voici ce que Dieu dit et pense de ces arbres qui s’élève vers le ciel, plein d’orgueil et de séduction. Ainsi que des hommes et femmes qui leur ressemblent : Esaïe 2-12 à15 :

 Car l’Eternel, le Seigneur des armées célestes, tient en réserve un jour où il se dressera contre tous les hautains, les arrogants, les orgueilleux, pour qu’ils soient abaissés, les cèdres du Liban, hautains et orgueilleux, et contre tous les chênes des plateaux du Basan, et contre les hautes montagnes et contre les collines qui sont altières, (ou élevées)

. Bien sur tout cela nous ramènent à la tour de Babylone qui devait s’élever jusqu’au ciel, pour défier Dieu.

 Si nous l’oublions, tous ces textes nous rappellent que Dieu ne regarde pas à la taille, ni à ce qui attire le regard mais regarde au cœur et aux fruits.

 La vie de la bien aimée est également établie sur ce principe du royaume.

1Samuel 16-7 : Devant Eliab, le frère de David, l’Eternel dit à Samuel : Ne prends point garde à son apparence et à la hauteur de sa taille, car je l’ai rejeté. L’Eternel ne considère pas ce que l’homme considère ; l’homme regarde à ce qui frappe les yeux, mais l’Eternel regarde au cœur. Il aime retrouver le cœur de Jésus qui nous dit : «  je suis doux et humble de cœur ». Regarder au cœur c’est un principe du royaume de Dieu. Regarder à ce qui frappe les yeux c’est  un principe du monde.

Tous ces arbres qui flattent le regard sont stériles et pleins de vanités, pas un seul ne porte du fruit, seul le pommier produit des fruits et de bons. Le pommier symbolise l’arbre de vie. Le seul qui produit des fruits chaque mois ou douze fois l’an, et ses feuilles servent à la guérison des nations.

Apocalypse 22-11 nous dit : Que celui qui est injuste soit encore injuste, que celui qui est souillé se souille encore ; et que le juste pratique encore la justice, et que celui qui est saint se sanctifie encore.

C’est seulement dans l’arbre de vie et ses fruits que la bien aimée et nous même, nous trouvons la nourriture pour pratiquer la justice toujours plus et nous sanctifier encore, car ses paroles sont certaines et véritables. Ceux qui ont les regards sur les autres arbres continuent de devenir injuste et de se souiller.

 Adam et Eve devaient se nourrir des fruits de l’arbre de vie, c’est à dire de Jésus… Nous le trouvons au début de la bible, au centre de la bible et à la fin de la bible. L’arbre de vie était planté dans le jardin d’Eden, au milieu du jardin nous est il précisé, de manière que tous les regards s’orientent vers lui. Malgré cette disposition voulue par Dieu, Eve a louché, avec l’œil gauche, vers l’arbre de la mort. Elle a jeté des regards pleins de désirs et de convoitises avant de succomber.

L’arbre de la vie, nous le retrouvons dans les évangiles planté sur le mont Golgotha, ou le calvaire sous la forme d’une croix. C’est là, sur la croix que Jésus va nous ouvrir l’accès, le chemin qui conduit de nouveau à l’arbre de la vie, ce chemin passe par le cœur du Père. Jésus nous obtient la réconciliation par le pardon. Il nous ouvre une voie nouvelle qui nous conduit au trône de la grâce.

La croix nous ouvre à nouveau l’accès à l’arbre de vie, elle nous le révèle. C’est là que nous découvrons réellement qui est Jésus, l’arbre de vie : L’Agneau de Dieu immolé dés la fondation du monde.

La croix, c’est le lieu du’’ tout est accompli’’, c’est le lieu de la manifestation unique, excellente, la plus grande de l’amour, de la miséricorde, de la compassion, du don de soi.

Jean : 12-24 : En vérité, en vérité, je vous le dis, si le grain de blé qui est tombé en terre ne meurt, il reste seul ; mais s’il meurt, il portera beaucoup de fruits. C’est à cause et par la mort de Jésus et sa résurrection que nous vivons. Bien sur nous sommes appelés à mourir à nous même également.

C’est à cause de cela que l’Epouse aime venir s’asseoir à l’ombre de son ‘’pommier’’ ou la croix. Elle y goûte les fruits doux à son palais, que lui offre Jésus. A chaque visite elle reçoit une nouvelle révélation et une manifestation de l’amour renouvelé, restauré. Oui à chaque visite elle goûte plus intensément l’amour de Jésus pour elle. Et elle sait qu’aucun autre homme, du monde, ne pourrait satisfaire son cœur, son besoin d’affection, de guérison, d’amour, son désir de vivre. A chaque visite sous son ombre elle trouve le repos promis aux élus.

Elle n’a pas de temps à perdre avec les autres arbres, ou les autres hommes. Elle est fidèle à son bien-aimé, elle hait le flirt dans tous ses aspects. C’est pourquoi comme le dit l’apôtre Paul :

1Corinthiens 2-2 : Car je n’ai pas eu la pensée de savoir parmi vous autre chose que Jésus–Christ, et Jésus–Christ crucifié.

 Les autres arbres ou hommes symbolisent les religieux, les pharisiens qui se vantent de jeuner deux fois la semaine. Ils considèrent comme maudite la foule qui ne connaît pas la loi. Ils sont pleins de dédain, arrogant, sans communion avec Dieu. Ils ont le cœur desséchés. Ils s’élèvent comme ces arbres de la forêt. C’est à eux que Jésus adresse ces reproches : Matthieu 23- 27 : Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous ressemblez à des sépulcres blanchis, qui paraissent beaux au–dehors, et qui, au–dedans, sont pleins d’ossements de morts et de toute espèce d’impuretés. Comme Jésus, l’Epouse sait discerner tout cela également.

A l’ombre de la croix, l’Epouse, comprend mieux ce passage de l’évangile de Jean « Voici l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. « 

Jésus, l’Agneau pascal, de Dieu, s’est offert, immolé pour que nous échappions à la mort éternelle. C’est le seul agneau pur, sans tache, sans péché, que le Père a trouvé, son Fils unique. Celui qui ôte le péché du monde, c'est-à-dire, non seulement celui qui obtient le pardon, mais ôte, c'est-à-dire qui réduit à l’impuissance le péché. Afin de nous sortir de l’esclavage du péché. Par la croix, Jésus,  annule les œuvres du diable. Il a dépouillé les autorités, les dominations, et les a livrées publiquement à la croix, en triomphant d’elle : Colossiens 2-15.

Aimons la croix, non pas l’engin de torture, mais l’œuvre accomplie, par Jésus, en notre faveur. Venons et revenons nous mettre à son ombre pour y méditer et trouver le repos. Ceci consiste tout simplement à ouvrir notre bible et à la lire. L’œuvre de la croix nous y sera révélée, non pas en une seule fois, mais successivement, toujours plus profondément et intimement, comme en croquant une ou plusieurs pomme à chaque visite. Plus nous y viendront, plus notre amour pour Jésus grandira, et plus son fruit sera doux à notre palais, même si parfois il est amère à nos entrailles ou contrarie notre chair.

«  J’ai désiré m’asseoir à son ombre » comme Marie qui venait s’asseoir aux pieds de Jésus, à Béthanie : Luc 10-39 et 42 :

Marthe avait une sœur nommée Marie, qui s’était assise aux pieds de Jésus. Elle écoutait la parole de Jésus. Une seule chose est nécessaire. Marie a choisi la bonne place, elle ne lui sera point ôtée, dit Jésus.

La position assise représente une situation paisible, une position d’accueil, de méditation. C’est la position que nous prenons de préférence, adoptons pour manger et goûter notre nourriture. C’est la même chose dans le spirituel, avec Jésus. Il veut nous nourrir comme il nourrissait les foules il y a 2000 ans. Remarquons qu’il faisait asseoir les foules avant de les nourrir : Luc : 14b et 15 : faites les asseoir, dit Jésus par rangées de 50. Ils firent ainsi, ils les firent asseoir.

«  J’ai désiré m’asseoir à son ombre » S’asseoir à son ombre c’est reposer à l’ombre du Tout-Puissant : Psaume 91 : 1 : Celui qui demeure sous l’abri du Très Haut Repose à l’ombre du Tout–Puissant.

Enfin, assise à l’ombre de la croix, l’Epouse médite sur ces paroles :

Ephésiens 5-25 à 27 : Christ a aimé l’Eglise (c’est-à-dire son Epouse ou nous) et s’est livré lui- même pour elle.

 Afin de la sanctifier, en la purifiant et en la lavant, par l’eau de la parole.

Pour faire paraître devant lui cette Eglise (ou Epouse) glorieuse, sans tache, ni ride, mais sainte et irréprochable.

 Quels sont ces fruits doux à son palais que l’Epouse apprécie ?

Psaume 119 : 103 que tes paroles sont douces à mon palais, plus que le miel à ma bouche.

Psaume 19 : 11 elles sont plus précieuses que l’or, que beaucoup d’or pur, elles sont plus délicieuses que le miel le plus doux.

Proverbes : 25-11 Comme des pommes d’or sur des ciselures d’argent, ainsi est une parole dite à propos. Telles sont les paroles de Jésus

Les paroles de Jésus, nous l’avons vu précédemment ont transformé la vie de l’Epouse. Elles doivent nous transformer également.

Doux, douce en hébreux (marpé) se traduit par remède, santé, guérison, calme, salutaire, délivrance, solidité.

 Ecoutons la définition, sur la douceur, d’un homme qui a vécu plusieurs siècles avant la venue de Jésus sur la terre.

- Platon = la douceur : c’est le ciment de la société qui se solidifie, appliqué mou ou liquide, peut devenir ciment c’est-à-dire dur.           

Voici quelques synonymes : gentillesse, bénignité, amabilité, affabilité, indulgence, bienveillance, clémence, agréable.

Le contraire de la douceur c’est : amertume, brusquerie, brutalité, rudesse, violence.

Ecoutons Jésus, ce qu’il dit de lui même : Je suis doux et humble de cœur. Donc la douceur vient du cœur et non d’une attitude extérieure face à certains  problèmes ou certaines situations, une attitude de self contrôle.  Ne confondons pas la douceur avec la faiblesse ou l’effacement. Douceur et faiblesse ne sont pas à confondre, leur différence est immense. La douceur nécessite une force considérable de caractère qui n’a rien d’humain elle ne peut provenir que de l’action du Saint-Esprit  dans un cœur. C’est une des facettes du fruit de l’Esprit.

 Bien sur, Jésus a la capacité de manifester la douceur de l’agneau mais également la force, la puissance de gouverner du lion. Tout en étant doux, Jésus ne craignait pas de traiter les pharisiens de race de vipère. Ou de chasser les vendeurs du temple. En Jésus la douceur est un équilibre entre l’agneau, et le Lion de Juda. Il est celui qui a manifesté une parfaite douceur à la croix, où il fut comme un agneau  qu’on mène à la boucherie : Esaïe 53- 7 La bible nous le confirme :

Proverbe 15 : 4 La langue douce est un arbre de vie, mais la langue perverse brise l’âme.

Proverbe 25 : 15 par la lenteur à la colère on fléchit un prince, et une langue douce peut rompre des os.

 

Les fruits doux, au palais de l’Epouse, la rendent stable, ferme, l’affermissent sur le roc, la rendent déterminée pour assurer sa mission sur terre et de régner par le Saint-Esprit. Ils lui donnent l’attitude de cœur et le caractère de Jésus. Ils la rendent capable de rechercher le bien de ceux qui l’entourent par les fruits de Jésus ou ses paroles. L’épouse demeure dans l’humilité, reste enseignable. Elle devient stable et ferme, solide.

Elle est établie sur le roc et non sur le sable, selon Matthieu 7 : 26 Car quiconque  entend ces paroles que je dis et les met en pratique, sera semblable à un homme prudent qui a bâti sa maison sur le roc.

Jésus nous dit : Ils sont heureux ceux qui sont doux, parce qu’ils recevront la terre comme un don de Dieu.

 En voici un exemple. Dieu nous dit lui-même que Moïse était l’homme le plus patient ou le plus doux de toute la terre, ou » un homme fort patient » ou d’autres versions disent » fort humble « 

 «Ton fruit est doux à mon palais » Cela signifie : Tes paroles me communiquent l’amour, la paix, la joie, la patience, la bonté, la bienveillance, la foi, la douceur, la maîtrise de soi. C’est-à-dire un fruit, sans arrière goût, sans regret, sans amertume, sans culpabilité ou jugement.

L’épouse dans ces propos compare, évalue les fruits que lui apporterait les « autres hommes du monde » : Un fruit qui peut paraître attirant, séduisant « agréable » c’est ce que croyait Eve. Ces fruits se sont les fruits du péché, agréable au départ et amer avec les conséquences. Les conséquences entraînent vers la mort, détruisent, aliènent, amènent la culpabilité, le regret. Là encore ces fruits sont le produit de la langue, des paroles de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Proverbe 20 : 17  dit : Le pain acquis par la tromperie est agréable à l’homme, mais ensuite sa bouche sera remplie de gravier.

Job 20-12 : Dans la bouche de l’homme mauvais, le mal est comme une chose sucrée, il le cachait sous sa langue.

 Oui l’Epouse sait, et nous devons savoir avec elle, que la vie vient des paroles de Jésus seulement. Tenons nous à l’écart de tout ce qui est séduisant, en parole , ou en actes, sortant de la bouche des  hommes et des femmes dominés par le monde, ceux qui cherchent l’orgueil du monde, la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, ceux qui cherchent ou provoquent des occasions de flirt ou des adultères, naturel ou spirituel. Ceux qui cherchent des proies à dévorer.

Tout cela ne peut satisfaire nos vrais besoins et nous laissent insatisfaits. L’épouse croit ces paroles de Jésus : Jean 4 : 14 celui qui boira de l’eau que je lui donnerai n’aura plus soif. L’eau de sa parole étanche  toute soif. Elle ne laisse aucun regret, aucune amertume. Elle donne le désir d’y revenir et de le faire connaître.

Souvenons-nous encore que son fruit est doux à notre palais, c’est-à-dire ses paroles.

Ce qui fait perdre la douceur :

L’orgueil

Les épreuves de la vie, peuvent nous rendre amer envers Dieu, et ceux qui nous entourent.

L’activisme

La rancune, l’amertume

Comme le dit : Philippiens 4 : 5 Que votre douceur soit connue de tous les hommes ?

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