LES 8 REVELATIONS DE JESUS DANS LE CANTIQUE DES CANTIQUES

Publié le par Fils d'Abraham en Jésus mon sauveur

   

Il y a 8 révélations distinctes de Jésus dans le Cantique des cantiques. Elles révèlent 8 facettes différentes de sa personnalité. Chaque fois que Jésus révèle son nom dans les Ecritures, il  révèle une dimension de la façon dont il veut que l’on soit en relation avec lui. C’est pourquoi, chacune de ces facettes possède un aspect unique par laquelle Dieu entre en relation avec nous, ce qui suscitera une réponse différente de notre part. Chaque facette de la beauté de Jésus produit dans le cœur de l’Epouse, c'est-à-dire dans chacune de nos vies, une réponse différente. 

Esaïe décrit quatre noms de Jésus. Il est notre : Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Prince de paix et Père éternel (Esaïe. 9 : 5) : Car pour nous un enfant est né, un fils nous est donné. Il exercera l’autorité royale, il sera appelé Merveilleux Conseiller, Dieu fort, Père à jamais et Prince de la paix (Es. 9 : 5 – Version Semeur). 

Nous pouvons combiner les quatre noms qu’Esaïe mentionne avec les 4 faces des êtres vivants dont Ezéchiel 1 : 10 ; Apocalypse. 4 : 7 nous parle. Chacun d’entre eux ont les mêmes faces, une face d’homme, une face de lion, une face de bœuf et une face d’aigle :

 Le premier être vivant est semblable à un lion, le deuxième être vivant est semblable à un veau, le troisième être vivant a comme le visage d’un homme, et le quatrième être vivant est semblable à un aigle en plein vol (Apocalypse. 4:7).

 Quant à l’apparence de leurs faces ils avaient tous une face d’homme, tous quatre une face de lion à droite, tous quatre une face de bœuf à gauche et tous quatre une face d’aigle (Ezéchiel. 1:10).

Les 8 visages sont les suivants dans le Cantique des cantiques:

1- Le Berger-conseiller Cantique : 1 : 8 : Si tu ne le sais pas, ô la plus belle des femmes, Sors sur les traces des brebis, Et fais paître tes chevreaux près des demeures des bergers.

2-Le Père affectueux Cantique 1 : 12 : Tandis que le roi est dans son entourage, Mon nard exhale son parfum.

 Cantique 2 : 6 : Que sa main gauche soit sous ma tête, Et que sa droite m’embrasse !

3- Le Roi souverain Cantique 2 : 8-9 : C’est la voix de mon bien–aimé ! Le voici, il vient, Sautant sur les montagnes, Bondissant sur les collines.

 Mon bien–aimé est semblable à la gazelle Ou au faon des biches. Le voici, il est derrière notre mur, Il regarde par la fenêtre, Il regarde par le treillis.

4- Le Sauveur sécurisant Cantique 3 : 6-8 : Qui est celle qui monte du désert, Comme des colonnes de fumée, Au milieu des vapeurs de myrrhe et d’encens Et de tous les aromates des marchands ?

 Voici la litière de Salomon, Et autour d’elle soixante vaillants hommes, Des plus vaillants d’Israël. Tous sont armés de l’épée, Sont exercés au combat ; Chacun porte l’épée sur sa hanche, En vue des alarmes nocturnes.

5- L’Epoux passionné Cantique 4 : 1-15 : Que tu es belle, mon amie, que tu es belle ! Tes yeux sont des colombes, Derrière ton voile. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres, suspendues aux flancs de la montagne de Galaad.

 Tes dents sont comme un troupeau de brebis tondues, Qui remontent de l’abreuvoir ; Toutes portent des jumeaux, Aucune d’elles n’est stérile. Tes lèvres sont comme un fil cramoisi, Et ta bouche est charmante ; Ta joue est comme une moitié de grenade, Derrière ton voile.

 Ton cou est comme la tour de David, Bâtie pour être un arsenal ; Mille boucliers y sont suspendus, Tous les boucliers des héros.

Tes deux seins sont comme deux faons, Comme les jumeaux d’une gazelle, Qui paissent au milieu des lis.

Avant que le jour se rafraîchisse, Et que les ombres fuient, J’irai à la montagne de la myrrhe Et à la colline de l’encens. Tu es toute belle, mon amie, Et il n’y a point en toi de défaut.

Viens avec moi du Liban, ma fiancée, Viens avec moi du Liban ! Regarde du sommet de l’Amana, Du sommet du Senir et de l’Hermon, Des tanières des lions, Des montagnes des léopards.

Tu me ravis le coeur, ma sœur, ma fiancée, Tu me ravis le coeur par l’un de tes regards, Par l’un des colliers de ton cou.

 Que des charmes dans ton amour, ma sœur, ma fiancée ! Comme ton amour vaut mieux que le vin, Et combien tes parfums sont plus suaves que tous les aromates !

 Tes lèvres distillent le miel, ma fiancée ; Il y a sous ta langue du miel et du lait, Et l’odeur de tes vêtements est comme l’odeur du Liban. Tu es un jardin fermé, ma sœur, ma fiancée, Une source fermée, une fontaine scellée. Tes jets forment un jardin, où sont des grenadiers, Avec les fruits les plus excellents, Les troènes avec le nard ; Le nard et le safran, le roseau aromatique et le cinnamome, Avec tous les arbres qui donnent l’encens ; La myrrhe et l’aloès, Avec tous les principaux aromates ;

 Une fontaine des jardins, Une source d’eaux vives, Des ruisseaux du Liban.

6-Le Serviteur souffrant Cantique 5 : 2 : J’étais endormie, mais mon coeur veillait… C’est la voix de mon bien–aimé, qui frappe : Ouvre moi, ma sœur, mon amie, Ma colombe, ma parfaite ! Car ma tête est couverte de rosée, Mes boucles sont pleines des gouttes de la nuit.

7-Le Dieu majestueux  Cantique 5 : 10-16 : Mon bien–aimé est blanc et vermeil ; Il se distingue entre dix mille. Sa tête est de l’or pur ; Ses boucles sont flottantes, noires comme le corbeau. Ses yeux sont comme des colombes au bord des ruisseaux, Se baignant dans le lait, Reposant au sein de l’abondance. Ses joues sont comme un parterre d’aromates, Une couche de plantes odorantes ; Ses lèvres sont des lis, D’où découle la myrrhe. Ses mains sont des anneaux d’or, garnis de chrysolithes ; Son corps est de l’ivoire poli, Couvert de saphirs ;

 Ses jambes sont des colonnes de marbre blanc, Posées sur des bases d’or pur. Son aspect est comme le Liban, distingué comme les cèdres. Son palais n’est que douceur, Et toute sa personne est pleine de charme. Tel est mon bien–aimé, tel est mon ami, filles de Jérusalem !

 8-Le Dieu jaloux qui est un feu dévorant  Cantique 8 : 6-7 : Mets moi comme un sceau sur ton coeur, Comme un sceau sur ton bras ; Car l’amour est fort comme la mort, La jalousie est inflexible comme le séjour des morts ; Ses ardeurs sont des ardeurs de feu, Une flamme de l’Eternel.  Les grandes eaux ne peuvent éteindre l’amour, Et les fleuves ne le submergeraient pas ; Quand un homme offrirait tous les biens de sa maison contre l’amour, Il ne s’attirerait que le mépris.

Appliquons à Jésus les 4 faces,( bœuf, lion, homme et aigle) avec les noms que nous venons de développer 

1-La face d’un bœuf : le Berger-conseiller et le Serviteur souffrant Cantique 1 : 8-11 : Si tu ne le sais pas, ô la plus belle des femmes, Sors sur les traces des brebis, Et fais paître tes chevreaux Près des demeures des bergers. A ma jument qu’on attelle aux chars de Pharaon Je te compare, ô mon amie. Tes joues sont belles au milieu des colliers, Ton cou est beau au milieu des rangées de perles.

5 : 2-7 : Je me suis levée pour ouvrir à mon bien–aimé ; Et de mes mains a dégoutté la myrrhe, De mes doigts, la myrrhe répandue Sur la poignée du verrou.

 J’ai ouvert à mon bien–aimé ; Mais mon bien–aimé s’en était allé, il avait disparu. J’avais le souffle coupé, quand il me parlait. Je l’ai cherché, et je ne l’ai point trouvé ; Je l’ai appelé, et il ne m’a point répondu.

 Les gardes qui font la ronde dans la ville m’ont rencontrée ; Ils m’ont frappée, ils m’ont blessée ; Ils m’ont enlevé mon voile, les gardes des murs.

-Le Berger-conseiller sert l’Epouse comme un berger le ferait pour ses brebis Cantique 1 : 7-11 : Dis moi, toi que mon cœur aime, où tu fais paître ton troupeau, où tu le fais coucher à midi ; pourquoi serais je comme égarée près des troupeaux de tes compagnons ?

 Si tu ne le sais pas, toi, la plus belle des femmes, sors sur les traces du petit bétail et fais paître tes chevrettes près des demeures des bergers.

 A une jument des chars du pharaon je te compare, mon amie.

 Tes joues sont jolies au milieu des bijoux, ton cou est beau au milieu des colliers.

Nous te ferons des bijoux d’or, avec des points d’argent. 

-Le Serviteur souffrant appelle l’Epouse à le rejoindre dans ses fardeaux Cantique 5 : 2-7 : J’étais endormie, mais mon cœur veillait… C’est mon bien–aimé qui frappe : « Ouvre moi, ma sœur, mon amie, ma colombe, ma parfaite ! Car ma tête est couverte de rosée, mes boucles, des gouttelettes de la nuit. »

 J’ai quitté ma tunique : comment la remettrais-je ? Je me suis lavé les pieds ; comment les salirais je ? Mon bien–aimé a passé la main par l’ouverture, mes entrailles ont frémi à cause de lui.

 Je me suis levée pour ouvrir à mon bien–aimé ; et de mes mains a ruisselé la myrrhe, de mes doigts, la myrrhe s’est répandue sur la poignée du verrou. J’ai ouvert à mon bien–aimé ; mais mon bien–aimé avait tourné le dos, il était passé. J’ai défailli à ses paroles. Je l’ai cherché et ne l’ai pas trouvé ; je l’ai appelé, et il ne m’a pas répondu. Les gardes qui font le tour de la ville m’ont trouvée ; ils m’ont frappée, ils m’ont blessée, ils m’ont enlevé ma mantille, les gardes des murailles.

2-La face d’un lion : le Roi souverain et le Sauveur sécurisant ou le Prince de la paix Cantique 2 : 8-9 : Ecoutez ! C’est mon bien–aimé ! Il vient, sautant sur les montagnes, bondissant sur les collines.

 Mon bien–aimé est semblable à la gazelle, au faon des biches. Le voici ; il se tient derrière notre mur, il regarde par la fenêtre, il épie par le treillis.

  3 : 6-11 : Qui est ce qui monte du désert, comme des colonnes de fumée, dans une brume de myrrhe, d’encens, de toutes les poudres du parfumeur ?

 C’est la litière de Salomon, et autour d’elle soixante vaillants hommes, parmi les plus vaillants d’Israël. Tous sont armés de l’épée, exercés au combat ; chacun porte l’épée au côté, en vue des frayeurs nocturnes. Le roi Salomon s’est fait un palanquin en bois du Liban. Il en a fait les colonnes en argent, le support en or, le siège de pourpre rouge ; l’intérieur a été brodé avec amour par les filles de Jérusalem. Sortez, filles de Sion, regardez le roi Salomon, avec la couronne dont sa mère l’a couronné le jour de ses noces, le jour de la joie de son cœur.

-Le Roi souverain a autorité sur toutes les montagnes et sur tous les obstacles, etc. Cantique 2 : 8-9 : Ecoutez ! C’est mon bien–aimé ! Il vient, sautant sur les montagnes, bondissant sur les collines. Mon bien–aimé est semblable à la gazelle, au faon des biches. Le voici ; il se tient derrière notre mur, il regarde par la fenêtre, il épie par le treillis.

-Le Sauveur sécurisant est le Prince qui amène la paix et la sécurité au travers de son gouvernement. Cantique 3 : 6-11 : Les gardes qui font le tour de la ville m’ont trouvée : Avez-vous vu celui que mon cœur aime ? A peine les avais je dépassés que j’ai trouvé celui que mon cœur aime ; je l’ai saisi et ne le lâcherai plus, jusqu’à ce que je l’aie introduit dans la maison de ma mère, dans la chambre de celle qui m’a conçue.

 Je vous en adjure, filles de Jérusalem, par les gazelles, par les biches de la campagne, n’éveillez pas, ne réveillez pas l’amour, avant qu’il le désire. Qui est ce qui monte du désert, comme des colonnes de fumée, dans une brume de myrrhe, d’encens, de toutes les poudres du parfumeur ?

 C’est la litière de Salomon, et autour d’elle soixante vaillants hommes, parmi les plus vaillants d’Israël. Tous sont armés de l’épée, exercés au combat ; chacun porte l’épée au côté, en vue des frayeurs nocturnes.  Le roi Salomon s’est fait un palanquin en bois du Liban. Il en a fait les colonnes en argent, le support en or, le siège de pourpre rouge ; l’intérieur a été brodé avec amour par les filles de Jérusalem.

 Sortez, filles de Sion, regardez le roi Salomon, avec la couronne dont sa mère l’a couronné le jour de ses noces, le jour de la joie de son cœur.

3-La face d’un homme : le Père affectueux et l’Epoux passionné : Cantique 1 – 12 à16 : Il en a fait les colonnes en argent, le support en or, le siège de pourpre rouge ; l’intérieur a été brodé avec amour par les filles de Jérusalem.

 Sortez, filles de Sion, regardez le roi Salomon, avec la couronne dont sa mère l’a couronné le jour de ses noces, le jour de la joie de son cœur.

 Cantique 4 : 1-15 Que tu es belle, mon amie, que tu es belle ! Tes yeux sont des colombes derrière ton voile. Ta chevelure est comme un troupeau de chèvres qui dévale les monts du Galaad.

Tes dents sont comme un troupeau de brebis à tondre qui remontent du bain ; chacune a sa jumelle, aucune n’en est privée.

Tes lèvres sont comme un cordon écarlate, et ta bouche est jolie ; ta joue est comme une moitié de grenade derrière ton voile.

Ton cou est comme la tour de David, bâtie pour être un arsenal : les mille boucliers y sont suspendus, tous les carquois des guerriers.

Tes deux seins sont comme deux petits, jumeaux d’une gazelle, qui paissent parmi les lis. Avant que souffle la brise du jour et que les ombres fuient, j’irai à la montagne de la myrrhe et à la colline de l’encens. Tu es toute belle, mon amie, en toi, pas de défaut.

 Viens avec moi du Liban, ô ma fancée, viens avec moi du Liban ! Regarde du sommet de l’Amana, du sommet du Senir et de l’Hermon, des tanières des lions, des montagnes des léopards.

Tu me ravis le cœur, ô mariée, ma sœur, tu me ravis le cœur par un seul de tes regards, par une seule maille de tes colliers.

 Que de beauté dans tes caresses, ô mariée, ma sœur ! Combien tes caresses valent mieux que le vin, et la senteur de tes parfums que toutes les essences odoriférantes !

 Tes lèvres distillent le miel, ô ma fiancée ; il y a sous ta langue du miel et du lait, et la senteur de tes vêtements est comme la senteur du Liban. Tu es un jardin clos, ô ma fiancée, ma sœur, une fontaine close, une source scellée. Tes pousses sont un verger de grenadiers aux fruits exquis, avec du henné et du nard ; du nard et du safran, du roseau et du cinnamome, avec tous les arbres à encens ; de la myrrhe et de l’aloès, avec toutes les meilleures essences odoriférantes. C’est une source des jardins, c’est un puits d’eau vive, ce sont des ruissellements du Liban. :

 -Le Père affectueux la réjouit à la table du banquet Cantique. 1 : 12 : Tandis que le roi est dans son entourage, Mon nard exhale son parfum.

Cantique-2 : 7 : Je vous en conjure, filles de Jérusalem, Par les gazelles et les biches des champs, Ne réveillez pas, ne réveillez pas l’amour, Avant qu’elle le veuille.

 Luc 15 : 20 : Il partit pour rentrer chez son père. Comme il était encore loin, son père le vit et fut ému ; il courut se jeter à son cou et l’embrassa. 

La révélation de l’Epoux passionné est la principale révélation de ce Cantique  4 : 1-15 ; 6 : 4-5 : Tu es belle, mon amie, comme Tirtsa, jolie comme Jérusalem, troublante comme les apparitions.

 Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent. Ta chevelure est comme un troupeau de chèvres dévalant du Galaad.

 On trouve deux expressions différentes du coeur de l’Epoux : le coeur prophétique de l’Epoux : Cantique. 4 : 1-5 : Que tu es belle, mon amie, que tu es belle ! Tes yeux sont des colombes derrière ton voile. Ta chevelure est comme un troupeau de chèvres qui dévale les monts du Galaad.

 Tes dents sont comme un troupeau de brebis à tondre qui remontent du bain ; chacune a sa jumelle, aucune n’en est privée.

 Tes lèvres sont comme un cordon écarlate, et ta bouche est jolie ; ta joue est comme une moitié de grenade derrière ton voile.

 Ton cou est comme la tour de David, bâtie pour être un arsenal : les mille boucliers y sont suspendus, tous les carquois des guerriers.

 Tes deux seins sont comme deux petits, jumeaux d’une gazelle, qui paissent parmi les lis.

 Et le coeur de l’Epoux qui est ravi par le nôtre : Cantique. 4 : 8-15 : Viens avec moi du Liban, ô ma fiancée, viens avec moi du Liban ! Regarde du sommet de l’Amana, du sommet du Senir et de l’Hermon, des tanières des lions, des montagnes des léopards.

 Tu me ravis le cœur, ô ma fiancée, ma sœur, tu me ravis le cœur par un seul de tes regards, par une seule maille de tes colliers.

Que de beauté dans tes caresses, ô ma fiancée, ma sœur ! Combien tes caresses valent mieux que le vin, et la senteur de tes parfums que toutes les essences odoriférantes !

 Tes lèvres distillent le miel, ô ma fiancée ; il y a sous ta langue du miel et du lait, et la senteur de tes vêtements est comme la senteur du Liban. Tu es un jardin clos, ô mariée, ma sœur, une fontaine close, une source scellée. Tes pousses sont un verger de grenadiers aux fruits exquis, avec du henné et du nard ; du nard et du safran, du roseau et du cinnamome, avec tous les arbres à encens ; de la myrrhe et de l’aloès, avec toutes les meilleures essences odoriférantes. C’est une source des jardins, c’est un puits d’eau vive, ce sont des ruissellements du Liban.

4-La face d’un aigle : le Dieu puissant et le feu consumant du Dieu jaloux : Cantique 5 : 10-16 : Mon bien–aimé est blanc et vermeil ; il se signale entre dix mille. Sa tête est de l’or fin, ses boucles sont flottantes, noires comme le corbeau. Ses yeux sont comme des colombes près des torrents, se baignant dans le lait, reposant au sein de l’abondance. Ses joues sont comme un parterre d’essences odoriférantes, des tours parfumées ; ses lèvres sont des lis d’où ruisselle la myrrhe répandue. Ses mains sont des anneaux d’or garnis de chrysolithe ; son ventre est de l’ivoire poli couvert de saphir.

 Ses cuisses sont des colonnes de marbre blanc posées sur des bases d’or fin. Son visage est comme le Liban, il se distingue comme les cèdres. Sa bouche n’est que douceur, et tout son être est désirable. Tel est mon bien–aimé, tel est mon compagnon, filles de Jérusalem !

 8 : 6-7 : Mets moi comme un sceau sur ton coeur, Comme un sceau sur ton bras ; Car l’amour est fort comme la mort, La jalousie est inflexible comme le séjour des morts ; Ses ardeurs sont des ardeurs de feu, Une flamme de l’Eternel. Les grandes eaux ne peuvent éteindre l’amour, Et les fleuves ne le submergeraient pas ; Quand un homme offrirait tous les biens de sa maison contre l’amour, Il ne s’attirerait que le mépris.

-Le Dieu majestueux  est révélé par la description de sa splendeur et de sa majesté. Cantique : 5- 10 à 16 : Mon bien–aimé est blanc et vermeil ; il se signale entre dix mille. Sa tête est de l’or fin, ses boucles sont flottantes, noires comme le corbeau. Ses yeux sont comme des colombes près des torrents, se baignant dans le lait, reposant au sein de l’abondance. Ses joues sont comme un parterre d’essences odoriférantes, des tours parfumées ; ses lèvres sont des lis d’où ruisselle la myrrhe répandue.

 Ses mains sont des anneaux d’or garnis de chrysolithe ; son ventre est de l’ivoire poli couvert de saphir.

 Ses cuisses sont des colonnes de marbre blanc posées sur des bases d’or fin. Son visage est comme le Liban, il se distingue comme les cèdres. Sa bouche n’est que douceur, et tout son être est désirable. Tel est mon bien–aimé, tel est mon compagnon, filles de Jérusalem !

-Le feu consumant du Dieu jaloux se manifeste dans l’amour surnaturel de Dieu : Cantique 8- 6 à 7 : Mets moi comme un sceau sur ton coeur, Comme un sceau sur ton bras ; Car l’amour est fort comme la mort, La jalousie est inflexible comme le séjour des morts ; Ses ardeurs sont des ardeurs de feu, Une flamme de l’Eternel.

  Les grandes eaux ne peuvent éteindre l’amour, Et les fleuves ne le submergeraient pas ; Quand un homme offrirait tous les biens de sa maison contre l’amour, Il ne s’attirerait que le mépris.

Deutéronome 4- 24 : Car l’Eternel, ton Dieu, est un feu dévorant, un Dieu jaloux.

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