Sort de Babylone mon peuple, dit le Seigneur!

Publié le par Fils d'Abraham en Jésus mon sauveur

Ils adorèrent les dieux d’or, d’argent, d’airain, de fer, de bois et pierre

Daniel 5- 2 à 4 : Belschatsar, quand il eut goûté au vin, fit apporter les vases d’or et d’argent que son père Nebucadnetsar avait enlevés du temple de Jérusalem, afin que le roi et ses grands, ses femmes et ses concubines, s’en servent pour boire.

 Alors on apporta les vases d’or qui avaient été enlevés du temple, de la maison de Dieu à Jérusalem ; et le roi et ses grands, ses femmes et ses concubines, s’en servirent pour boire.

 Ils burent du vin, et ils louèrent les dieux d’or, d’argent, d’airain, de fer, de bois et de pierre. C’était une célébration religieuse des Babyloniens.

Belschatsar était le roi du royaume et des mystères de Babylone.

Le roi Belschatsar, roi des Perses et de Babylone, organise un grand festin pour ses grands, ses femmes et ses concubines, mille personnes participent à ce banquet. Le vin coule à flots.

La bible, version du semeur nous dit : il se mit à boire du vin en leur présence. Excité par le vin, le roi Belschatsar ordonna d'apporter les coupes d'or et d'argent que son père Nebucadnetsar avait rapporté du temple de Dieu à Jérusalem.

Le roi, ses hauts dignitaires, ses femmes et ses concubines s'en servirent pour boire.

Belschatsar : signifie que Bel, ou le dieu Bel protège le roi.

Nebucadnetsar : signifie que Nébo protège la couronne. C'est le dieu de la sagesse babylonienne, des oracles et de l'écriture, Bel est un autre dieu babylonien.

2- Rois 24 -- 13 : Il tira de là tous les trésors de la maison de l’Eternel et les trésors de la maison du roi ; et il brisa tous les ustensiles d’or que Salomon, roi d’Israël, avait faits dans le temple de l’Eternel, comme l’Eternel l’avait prononcé.

2 Chroniques 36 -- 10 L’année suivante, le roi Nebucadnetsar le fit emmener à Babylone avec les ustensiles précieux de la maison de l’Eternel. Et il établit roi sur Juda et sur Jérusalem Sédécias, frère de Jojakim.

Dans les services du temple ces vases ou ces coupes servaient pour recevoir le sang des animaux offerts en sacrifice. Ensuite le sang devait être répandu par aspersion devant l'Eternel, en face du voile, sur les cornes de l'autel ou répandu au pied de l'autel des holocaustes. Une fois par an, le souverain sacrificateur devait porter le sang au-delà du voile. C’est-à-dire dans le lieu très saint. Ce sang, nous l'avons dit était recueilli dans des vases ou coupes pour le  transporter là où il devait être répandu.

Tous ces ustensiles avaient été consacrés pour le service du temple, ou mis à part pour Dieu, pour son service. Ils avaient été consacrés, sanctifiés, comme l’autel des sacrifices et l’autel des parfums. Ils avaient été purifiés par le sang et oints d'huile ensuite, c'est à dire sanctifiés par le Saint-Esprit, avant d'être mis au service du temple et de Dieu. Ces vases ou  ces coupes ne devaient servir à aucun autre usage ou service, c'est-à-dire mise à part pour le service de Dieu.

Ces vases ou ces coupes n'étaient utilisés que par des personnes, également consacrées, c'est-à-dire les sacrificateurs ou le souverain sacrificateur. Elles avaient reçus la purification par le sang, ensuite elles avaient été ointes par l’huile qui symbolise le Saint-Esprit.

 

Apocalypse 5 --8 nous donnent un exemple d’un usage, de coupe, pour le service de Dieu : Quand il eut pris le livre, les quatre êtres vivants et les vingt quatre vieillards se prosternèrent devant l’Agneau, tenant chacun une harpe et des coupes d’or remplies de parfums, qui sont les prières des saints.

Sous l'effet de l'ivresse, Belschatsar va profaner ces vases ou ces coupes en les mettant entre les mains d'hommes et de femmes impies, idolâtres, pour y boire du vin. Cela va les conduire dans l'ivresse, l'orgie, la débauche, l'idolâtrie.  L’ivresse les amène à l'idolâtrie, et à rendre un culte à des dieux d'or, d'argent, d’airain, de fer, de bois et de pierre, l'adoration de la richesse et de l'ivresse  dans toutes ses composantes.

Daniel 5 -- 4 : lls burent du vin, et ils louèrent les dieux d’or, d’argent, d’airain, de fer, de bois et de pierre.

La Bible nous dit que nous devenons semblable à celui que nous adorons : à Dieu pour ceux qui l'adorent, et à la bête, ceux qui l'adorent et se prosternent devant elle, en acceptant de vivre selon ses principes ou de se soumettre à son autorité.

En choisissant de louer ces dieux, Belschatsar choisi d'être un adorateur de la bête ou de l’Antichrist et de lui devenir semblable. En même temps il se manifeste comme serviteur de la bête, ou de l’Antichrist. Par son invitation à son banquet il va entrainer un grand nombre de personne dans la voie de la mort ou de l’enfer. C’est la destinée de ceux qui adorent l’image de la bête ou l’Antichrist, ou acceptent la marque de la bête, ou écoutent la voix du faux prophète. Celui qui prend la place du Saint-Esprit :

Apocalypse 19- 20 : Et la bête fut prise, et avec elle le faux prophète, qui avait fait devant elle les prodiges par lesquels il avait séduit ceux qui avaient pris la marque de la bête et adoré son image. Ils furent tous les deux jetés vivants dans l’étang ardent de feu et de soufre.

En utilisant délibérément ces coupes ou ces vases pour un usage que Dieu désapprouve, Belschatsar commet un blasphème. Ce mot ne fait plus partie de notre vocabulaire contemporain :

Blasphémer signifie : se moquer, donner un usage impie, être injurieux, insulter, avoir un discours impie, ou un  choix de vie impie envers la majesté de Dieu ou la sainteté de Dieu. Voici ce que la bible sur le blasphème :

Apocalypse 13- 5 et 6 : Et il lui fut donné une bouche qui proférait des paroles arrogantes et des blasphèmes ; il lui fut donné le pouvoir d’agir pendant quarante deux mois.

 Et elle ouvrit sa bouche pour proférer des blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer son nom, son tabernacle, et ceux qui habitent dans le ciel. Il s’agit de la bête.

On ne se moque pas de Dieu impunément. Une main apparaît, pendant le banquet de Belschatsar, et écrit ces trois mots sur un mur, dans la salle, du palais royal où se tient ce banquet : compté, pesé, divisé.

Belschatsar alors est effrayé. Il demande à ses magiciens de lui expliquer ces trois mots : compté, pesé, divisé, aucun n'en est capable.

Finalement Daniel est contacté et lui, en donne l'interprétation :

Daniel 5 -- 23 -- 26 à 28 : Tu t’es élevé contre le Seigneur des cieux ; les vases de sa maison ont été apportés devant toi, et vous vous en êtes servis pour boire du vin, toi et tes grands, tes femmes et tes concubines ; tu as loué les dieux d’argent, d’or, d’airain, de fer, de bois et de pierre, qui ne voient point, qui n’entendent point, et qui ne savent rien, et tu n’as pas glorifié le Dieu qui a dans sa main ton souffle et toutes tes voies.

Et voici l’explication de ces trois mots donnée par Daniel:

 -Compté : Dieu a compté ton règne, et y a mis fin.

 -Pesé : Tu as été pesé dans la balance, et tu as été trouvé léger.                        Divisé : Ton royaume sera divisé, et donné aux Mèdes et aux Perses. Belschatsar était Chaldéen

Le verset 30 nous dit : leur roi fut tué la nuit même.   

Pendant ce banquet, le choix du roi Belschatsar, nous montre qu'il était sous l'emprise du dieu Bacchus : c'est le dieu du vin, de l'ivresse, du débordement, notamment sexuel à travers l'orgie, c'est le dieu des plaisirs de la vie. C’est l’esprit qui pervertit et qui aujourd’hui  cherche à souiller le temple de Dieu, nos corps, comme les vases du temple de Jérusalem. En effet chacun d’entre nous sommes le temple du Saint-Esprit et un vase sanctifié par le sang de Jésus et oint du Saint-Esprit.

Ce dieu corrompe le vase du Saint-Esprit ou son temple. Il rend négligent, et endort, il cherche à nous empêcher de renouveler notre réserve d’huile ou nos lampes de brûler. Afin que nous devenions des vierges folles, à qui Jésus dira : Je ne vous connais pas.

Nous sommes responsables de l’usage que nous donnons à ce temple.

1 Corinthiens 6-19 et 20 : Ne savez vous pas que votre corps est le temple du Saint–Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous–mêmes ?

  Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu

L’ivresse du vin ou l’état d’ébriété provoque la perte du contrôle de soi même ou de la maitrise de soi. Elle donne une joie charnelle qui laissera une »gueule de bois »  le lendemain. Pendant ce temps d’ébriété la personne, dominées par l’alcool, va se livrer ou s’abandonner à toute sorte d’excentricité, de débauche, de querelle, de dispute etc. De sa bouche va sortir toute sorte de paroles insensées, voir de blasphème, d’alliance diabolique ou de trahison. L’ébriété intoxique et provoque des perturbations dans l’adaptation nerveuse et la coordination motrice. Elle nous met en état d’exaltation.

Ceci nous montre l’œuvre et la contrefaçon du Saint-Esprit par celui qui tiendra le rôle du faux prophète auprès de l’Antichrist :

Apocalypse 13- 11à 13 : Alors je vis monter de la terre une autre bête. Elle avait deux cornes semblables à celles d’un agneau, et elle parlait comme un dragon.

 Elle exerce tout le pouvoir de la première bête devant elle, et elle fait que la terre et ses habitants se prosternent devant la première bête, dont la blessure mortelle a été guérie.

 Elle produit de grands signes, jusqu’à faire descendre le feu du ciel sur la terre, à la vue des humains.

Le Saint-Esprit glorifie Jésus. Le faux prophète mettra l’accent sur .l’Antichrist et le glorifiera

Quand nous parlons de l'ivresse nous ne mentionnons pas seulement l'ivresse du vin. Il y a d'autres formes d'ivresse : l'ivresse du pouvoir, l'ivresse de l'argent, l'ivresse du sang qui coule, nous venons de le voir à Toulouse, l’ivresse du succès, l’ivresse du combat, l’ivresse de l’exaltation du moi, l’ivresse qui consiste à rechercher  l’adoration de soi ou du moi. L’ivresse du vin de Babylone.

La bible nous donne des exemples de ces types d’ivresse :

L’ivresse du pouvoir :

Actes 12- 21 à 23 : A un jour fixé, Hérode, revêtu de ses habits royaux, et assis sur son trône, les harangua publiquement.

 Le peuple s’écria : Voix d’un dieu, et non d’un homme !

 Au même instant, un ange du Seigneur le frappa, parce qu’il n’avait pas donné gloire à Dieu. Et il expira, rongé des vers.

L’ivresse de l’argent :

Nabal, dont le nom signifie fou, cet homme était très riche :

1 Samuel 25- 2 : Il y avait à Maon un homme qui avait ses activités à Carmel. C’était un homme très important, il avait trois mille moutons et mille chèvres. Or il se trouvait à Carmel pour la tonte de ses moutons.

 Le nom de cet homme était Nabal.

Il refuse de donner de la nourriture, lors d’un banquet, aux hommes de David qui avaient protégés les bergers de Nabal. David parle de venger, Abigaïl, l’épouse de Nabal, intervient auprès de David. Elle prend la faute de son mari à son compte, et David lui pardonne :

1 Samuel 25- 36 à 38 : Abigaïl arriva auprès de Nabal. Et voici, il faisait dans sa maison un festin comme un festin de roi ; il avait le cœur joyeux, et il était complètement dans l’ivresse. Elle ne lui dit aucune chose, petite ou grande, jusqu’à la lumière du matin.

 Mais le matin, l’ivresse de Nabal s’étant dissipée, sa femme lui raconta ce qui s’était passé. Le cœur de Nabal reçut un coup mortel, et devint comme une pierre.

 Environ dix jours après, l’Eternel frappa Nabal, et il mourut.

L’ivresse du sang :

 Apocalypse : 17-6 : Je vis cette femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus. Et, en la voyant, je fus saisi d’un grand étonnement.

L’ivresse du vin de Babylone :

Apocalypse 18- 3 : Car toutes les nations ont bu le vin de sa prostitution furieuse. Les rois de la terre, avec elle, se sont livrés à la débauche, et les commerçants de la terre ont fait fortune grâce à son luxe démesuré.

 Babylone, n’oublions pas que c’est chez elle, qu’on a trouvé le sang des prophètes, des saints, et de tous ceux qui ont été égorgés à cause de leur foi en Christ.

C’est pourquoi Dieu noud demande de sortir de Babylone et son système : La France a bu, toutes les nations sont enfermées dans un système babylonien. La ville (spirituelle) qui a la domination sur tous les rois de la terre. Elle donne à boire du vin de la fornication. C'est important de sortir sinon nous allons  être participants de ses péchés mais aussi des sanctions.

De très grandes puissances vont se lever et donner de la force à l'Antéchrist qui est en train de se lever.

Hitler est un symbole de l'Antéchrist que le diable a voulu établir avant l’heure ou le temps.

Cela se manifeste par des persécutions horribles contre les chrétiens, les juifs. Que les fléaux qui viennent par cet esprit ne soient pas sur nous. Les intelligents sont ceux qui ont des oreilles.

En voici un exemple vécu au Pakistan.

 

Pakistan : Une chrétienne enceinte battue par la police

Le 7 novembre 2011, Salma Emmanuel, enceinte de 5 mois, est entrée à l’hôpital dans un état critique. Elle et son mari, injustement accusés de vol, ont été frappés par la police pendant trois jours.

 

Salma, 30 ans et Rachid, 39 ans, sont tous deux accusés d’avoir participé à un cambriolage, au domicile où Salma était employée comme domestique à Abbottabad, à 50 kilomètres au nord-est d’Islamabad.

 

Arrivée au poste de police, un inspecteur, du nom de Nazia et deux policières ont commencé à donner des coups de poings et des coups de pieds à Salma et à la frapper avec leur matraque, lui demandant de « confesser son crime. »

 

« Je les ai supplié d’arrêter en leur disant que j’étais enceinte de 5 mois mais elles ont continué pendant près de 3 heures. Elles ont essayé de me forcer à admettre que j’avais commis le vol, elles ont menacé de tuer mon bébé mais j’ai refusé de me déclarer coupable d’un crime que je n’ai pas commis. » Finalement, alors qu’elle était sur le point de mourir, Salma a été conduite à l’hôpital Benazir Shaheed où les médecins ont fait tout leur possible pour la sauver, elle et son bébé : «J’avais mis toute ma confiance en Jésus et je savais qu’Il me viendrait en aide. C’est grâce à notre foi que nous avons tenu bon… »

 

Alors que Salma luttait pour sa vie à l’hôpital, Rachid était toujours roué de coups dans le poste de police où il était détenu. Il raconte : « Les policiers me frappaient sans pitié, ils n’arrêtaient pas de me demander d’avouer le vol mais je n’ai pas craqué sous la pression. Ils ont continué à me frapper pendant les trois jours qu’a duré la fête de l’Aïd. »

Rachid ajoute que les policiers ont essayé de lui faire renier sa foi : « Un policier m’a proposé d’abandonner l’accusation de vol si je reniais Jésus et devenais musulman. Je lui ai répondu : peu importe ce qui m’attend, je ne renierai jamais ma foi et je ne reconnaitrai jamais un vol que je n’ai pas commis. »

Aujourd’hui, faute de preuves, Salma et Rachid ont été relâchés mais ils ont perdu leur emploi. Salma devra comparaître devant la justice le 8 décembre.

Source : Portes Ouvertes

 

 Citons encore l'ivresse du jeu. Cette forme d'ivresse peut devenir une compétition, un match entre plusieurs personnes. Le plaisir va se mesurer en termes de résultat. L'ivresse du jeu est liée à la production d'hormones qui donnent la sensation d'ivresse ou d'ébriété, notamment par les endorphines, elle provoque l'excitation. Cela peut devenir une dépendance, créer des liens, sous l'effet d'esprit diabolique attaché à cette forme d'ivresse, et à toute celles que nous avons mentionnées ci-dessus.

La bible nous donne d’autres exemples de festin ou de banquet au cours desquels des hommes et des femmes ont détourné leur cœur de Dieu :

Exode 32 Moïse est sur le Sinaï, pour recevoir, de l’Eternel, les tables de la loi. Le peuple commence à s’impatienter de l’absence de Moïse, il demande à Aaron de lui construire une idole, avec les bijoux des femmes, un veau, qui sera leur dieu. Aaron accepte et bâtit un autel. Il déclare que lendemain sera jour de fête en l’honneur de l’Eternel. C’est un mensonge, car en fait le jour de fête est réservé pour l’idole ou le veau, plus exactement :

Verset 5 et 6 : ils dirent : Israël ! Voici ton dieu, qui t’a fait sortir du pays d’Egypte.

 Lorsque Aaron vit cela, il bâtit un autel devant lui, et il s’écria : Demain, il y aura fête en l’honneur de l’Eternel !

 Le lendemain, ils se levèrent de bon matin, et ils offrirent des holocaustes et des sacrifices d’actions de grâces. Le peuple s’assit pour manger et pour boire ; puis ils se levèrent pour se divertir.

Divertir, signifie : détourner ou se détourner, soustraire ou se soustraire (à Dieu par exemple) se moquer, rire. Quand la bible nous parle de boire, comme dans le cas présent, l’ébriété est présente avec tout se qui en résulte : La débauche, l’idolâtrie et la sorcellerie ne sont pas loin:

1 Corinthiens 10- 7 et 8 : Ne devenez point idolâtres, comme quelques–uns d’entre eux, selon qu’il est écrit, Le peuple s’assit pour manger et pour boire ; puis ils se levèrent pour se divertir.

 Ne nous livrons point à la débauche, comme quelques–uns d’entre eux s’y livrèrent, de sorte qu’il en tomba vingt trois mille en un seul jour.

Nous trouvons un exemple de repas de fête associé à la sorcellerie, dans 1 Samuel, avec le roi Saül et la sorcière ou magicienne d’En-Dor :

Les Philistins  menacent d’envahir Israël. Saül, le roi a perdu l’onction de Dieu à cause de désobéissances répétées. Dieu ne répond plus à ses prières. Alors Saül, incognito, décide d’aller consulter une sorcière, une femme qui évoque les morts. Bien quelques années auparavant il a retranché du pays ceux qui évoquent les morts, ou ceux qui prédisent l’avenir. La femme consultée reconnaît le roi et l’invite à prendre un repas. Pour cela elle va hâter de tuer et préparer un veau gras. Le veau gras était réservé pour les grandes fêtes, un mariage par exemple. Lors du retour du fils du fils a tué le veau gras, afin de célébrer par une fête joyeuse, le retour de son fils. Le sang à couler. Ce veau est un symbole de Jésus qui offre son sang, afin qu’il y est de la joie dans le ciel quand un pêcheur se repentit.

Dans le cas présent, par ce repas de fête entre Saül et la sorcière d’En-Dor, nous pouvons dire qu’il a eut un mariage occulte ou sorcier. Le lendemain, Saül va mourir en choisissant de se suicider au du  combat qu’il entreprend contre les Philistins, entrainant avec lui, deux de ses fils dans la mort.

La bible nous demande même de ne pas manger avec un homme qui se nomme frère et vit dans la débauche ou est ivrogne etc.

1 Corinthiens 5-11 : Maintenant, ce que je vous ai écrit, c’est de ne pas avoir des relations avec quelqu’un qui, se nommant frère, est débauché, ou cupide, ou idolâtre, ou outrageux, ou ivrogne, ou ravisseur, de ne pas même manger avec un tel homme.

Belschatsar est mort, mais l'esprit qu’il incarne subsiste encore aujourd’hui. C’est l’esprit du mélange entre la sainteté et le paganisme. Il pollue, ce qui est sacré où consacré, par l’ivresse, l’orgie, la débauche sexuelle, l’idolâtrie, la recherche de d’adoration. Le temple de Dieu que nous sommes, il veut en faire un temple d’idoles. Il attire le jugement de Dieu sur nos vies et nos activités.

Ephésiens 5 -- 18 : Ne vous enivrez pas de vin, c’est de la débauche. Soyez, au contraire, remplis de l’Esprit.

Le Saint-Esprit nous communique la vraie joie, celle de Dieu et dont la bible dit qu’elle est notre force.

Proverbes 17-22 : Un cœur joyeux est un bon remède. Il s’agit d’un cœur rendu joyeux par le Saint-Esprit

Dans le livre du Cantique des cantiques, l’Epouse dit à Jésus : car ton amour vaut mieux que le vin. Les joies que procure le vin sont éphémères, et ouvrent la porte à des lendemains difficiles. L’amour de Jésus est éternel.

Cantique des cantiques 2-4 : Il m’a fait entrer dans la maison du vin ; Et la bannière qu’il déploie sur moi, c’est l’amour. Dans ce verset il s’agit du vin nouveau du Saint-Esprit, mais là encore c’est l’amour qui l’emporte.

Le banquet de Belschatsar est un simulacre, une contrefaçon, un blasphème, une moquerie envers le banquet des noces de l'Agneau. Le but consiste bien à détourner, à pervertir, souillés les hommes et les femmes qui appartiennent à Dieu. Afin de les amener dans la débauche, l'orgie, l'idolâtrie, et les empêcher de se préparer pour les noces de l'Agneau. Car il nous est dit que l’Epouse sera revêtue d’habit d’un fin lin que sont les œuvres des saints ou des élus.

Dieu nous a préparé des œuvres, celles de l’Esprit à valeurs éternelles, afin que nous les accomplissions. L’esprit de Belschatsar cherche à nous préoccuper par des œuvres dégradantes qui donnent une satisfaction charnelle et passagère. Cela nous ramène au livre des Nombres chapitre 26. Le peuple est dans le désert après sa sortie d’Egypte. Sa présente inquiète le roi de Moab : Balaq, dont le nom signifie : celui qui dévaste, celui qui gaspille. Il n’ose pas affronter le peuple Hébreux, alors il mandate un prophète pour maudire Israël. C'est-à-dire qu’il a recourt à la sorcellerie. Mais le prophète ne pourra que bénir Israël, avec les paroles que Dieu met dans sa bouche. Alors prophète incite les filles de Moab à amener le peuple hébreux dans la débauche et l’idolâtrie :

Nombres : 25 2 et 3 : Elles invitèrent le peuple aux sacrifices de leurs dieux ; et le peuple mangea, et se prosterna devant leurs dieux.

Nombres 31-16 : Voici, ce sont elles qui, sur la parole de Balaam, ont entraîné les enfants d’Israël à l’infidélité envers l’Eternel, dans l’affaire de Peor ; et alors éclata la plaie dans l’assemblée de l’Eternel.

 Israël s’attacha à Baal–Peor, et la colère de l’Eternel s’enflamma contre Israël.

Baal-Péor signifie : le dieu de la brèche

L’une des filles de Moab, nommée Cozbi ( mon mensonge) rentre dans le camp avec un fils d’Israël. Il faudra tout le zèle du sacrificateur Phinées pour extraire le mal du camp

Apocalypse 19- 7à 8 : Réjouissons nous, soyons dans l’allégresse, et donnons lui gloire ; car les noces de l’Agneau sont venues, son épouse s’est préparée, et il lui a été donné de se revêtir d’un fin lin, éclatant, pur ; car le fin lin, ce sont les œuvres justes des saints.

 L’ange me dit : Ecris : Heureux ceux qui sont appelés au festin des noces de l’Agneau ! Puis il me dit : Ces paroles sont les véritables paroles de Dieu.

Le vin des noces de l’Agneau nous en avons un exemple dans l’évangile de Jean, quand Jésus opère un miracle. Les mariés n’ont plus de vin à offrir à leurs invités. Jésus change de l’eau en vin, en grande quantité. L’ordonnateur, surpris par la qualité de ce vin, dit au marié :

Jean 2- 10 : et lui dit : Tout homme sert d’abord le bon vin, puis le moins bon après qu’on s’est enivré ; toi, tu as gardé le bon vin jusqu’à présent.

L’autre but de cet esprit de Belschatsar, consiste à aveuglé les hommes et les femmes, par des préocupations futiles, afin de les empêher d'entendre la bonnne nouvelle de l'évangile. Il met un voile sur l'évangile, et aveugle. Comme Paul avant sa conversion sur la route de Damas Quand il a accepté et reconnu Jésus comme son sauveur, des écailles sont tombées de ses yeux. 

2 Corinthiens 4- 3 et 4 : Si notre Evangile est encore voilé, il est voilé pour ceux qui périssent ;

 Pour les incrédules dont le dieu de ce siècle a aveuglé l’intelligence, afin qu’ils ne voient pas briller la splendeur de l’Evangile de la gloire de Christ, qui est l’image de Dieu.

Toi qui viens de lire ce message, saches que tu es aimé par ce Dieu créateur du ciel et de la terre. IL te cherche, il attend que tu te laisses rencontrer avec lui. Car il a une destinée pour toi, un plan de bonheur, il désire que tu le connaisses pour te manifester son amour et que tu deviennes membre de sa famille. Il te donne et t'ouvre le chemin qui accède directement à son coeur. Ce chemin se nomme Jésus, qui a dit : Je suis le chemin, la vérité, la vie, nul ne vient au Père que par moi. Jean 14-6.

Jésus te dit: Voici je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, j'entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi. Apocalypse 3-20. Oui Jésus frappe à la porte de ton cœur, il attend que tu lui dises de rentrer. C'est très simple, car Dieu est simple. Il suffit de lui adresser cette prière bien simplement mais bien sincèrement:

Seigneur Jésus je te remercie de ton amour et de ce que tu es venu dan le monde mourir pour moi. Je reconnais que j'ai dirigé ma vie, jusqu'a présent, comme je l'ai décidé et qu'aussi j'ai péché contre toi. Je crois que tu es mort sur une croix et que tu as versé ton sang pour que j’aie le pardon de mes péchés. Je veux te recevoir dans ma vie et obtenir le pardon de mes péchés. Et je t’invite dans mon cœur pour que tu prennes la première place, que tu sois mon Seigneur et que tu diriges ma vie, selon tes lois.

Merci pour le pardon de mes péchés. Fais de moi la personne que tu désires que je sois. Je crois que tu es vivant, ressuscité. Je te remercie d'avoir répondu à ma prière et d'être maintenant dans ma vie.

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