Ce que signifie la résurection pour nous
La résurrection de Jésus est le sceau infaillible du don de pardon et de salut de Dieu au travers de Jésus.
Dans Romains 4 :18-22, Paul explique comment la foi d’Abraham en la promesse de Dieu « lui a été imputée à justice ». Puis il poursuit par une application pour nous en tant que croyants : Romains 4 :23-24.
Justification = Acquittement = afin que nous soyons rendus justes = comme si nous n’avions jamais péché = parce que la justice sans péché de Christ nous est imputée ou créditée à travers notre foi.
Notre garantie
La résurrection de Christ est la garantie de notre résurrection.
C’est par la justice de la foi (Rom.4 :13) que l’héritage du monde a été promis à Abraham ou à sa postérité : ayant la pleine conviction que ce qu’Il promet Il peut aussi l’accomplir (Rom.4 :21), mais c’est encore à cause de nous, à qui cela sera imputé, qui croyons en celui qui a ressuscité Jésus pour notre justification. (Rom.4 :24-25)
Colossiens 1 :18 « il est la tête du corps, de l’église. Il est le commencement, le premier-né d’entre les morts, afin d’être en tout le premier. »
Jésus était le commencement de la première création de Dieu ; à travers sa résurrection, il est le commencement de la nouvelle création de Dieu, qui nous est rendue accessible par la foi.
On dit de Jésus qu’il est le commencement et le premier-né d’entre les morts. Autrement dit, la résurrection est comparée à la renaissance de la mort.
Psaume 2 :7, « L’Eternel m’a dit : tu es mon fils ! Je t’ai engendré aujourd’hui. » Le jour où le Père a engendré son Fils, était celui de la résurrection.
Jésus était le premier engendré de la mort.
Sa résurrection était une renaissance vers une nouvelle vie éternelle.
Jésus, la tête a émergé dans la résurrection et cela garantit que nous, qui sommes le corps, nous suivrons la tête. C’est une belle image.
La résurrection de Jésus est la garantie que nous, qui sommes unis à lui par la foi, ressusciterons comme lui.
Lui, la tête est déjà sortie. Nous, le corps, nous le suivrons, au temps de Dieu. Jésus lui-même le résume : « Moi, je vis et vous aussi vous vivrez. » (Jean 14 :19)
Sa vie est notre vie : nous partagerons sa résurrection parce que nous sommes unis à lui.
Mon but est de le connaître, lui ainsi que la puissance de sa résurrection et la communion de ses souffrances, en devenant conforme à lui dans sa mort… »
« Il nous rendra la vie dans deux jours ; le troisième jour, il nous relèvera et nous vivrons devant. » Osée 6 :2
Par l’inspiration prophétique du Saint-Esprit, l’Ecriture révèle qu’en tant que croyants, nous sommes inclus dans la résurrection de Jésus. Il est mort de notre mort pour que nous puissions nous identifier à lui par le baptême en son ensevelissement et donc nous partagerons aussi sa résurrection. Ephésiens 2 :4-6.
La victoire sur tous les ennemis
La victoire de Christ nous assure la victoire sur tous nos ennemis, en particulier sur la mort.
Seul le christianisme a une réponse satisfaisante à la question de la mort et c’est grâce à la résurrection de Christ.
Une image glorieuse du Christ vainqueur ressuscité dans le livre de l’Apocalypse 1 :10-18.
Tout d’abord, la mort n’est pas simplement un état physique. Ce n’est pas simplement la séparation de la vie et du corps.
La mort et le séjour des morts sont des anges mauvais, les représentants de Satan, qui dirigent un royaume de ténèbres. (Apocalypse.6 :8)
Nous voyons que la mort et le Hadès, séjour des morts, sont des personnes, des anges sataniques, représentants de Satan, administrateurs du royaume mauvais des ténèbres.
La mort réclame le corps des hommes ; le Hadès réclame leur âme ; Entre la mort et la résurrection, Jésus est descendu dans leur royaume.
Nous devons savoir que la mort est déjà vaincue, mais pas encore détruite.
1 Corinthiens 15 :25-26 : « Car il faut qu’il règne jusqu’à ce qu’il ait mis tous ses ennemis sous ses pieds. Le dernier ennemi qui sera détruit, c’est la mort. »
La mort est vaincue, mais pas détruite : entre-temps Jésus a déjà ôté l’aiguillon de la mort.
1 Cor. 15 :53-57 : « La mort a été engloutie dans la victoire. O mort, où est ta victoire ? O mort, où est ton aiguillon ? L’aiguillon de la mort, c’est le péché ; et la puissance du péché, c’est la loi. Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ ! »
La mort est maintenant esclave des desseins de Dieu, une ennemie vaincue en attendant d’être détruite et la communion de ses souffrances, en devenant conforme à lui dans sa mort… »
« Il nous rendra la vie dans deux jours ; le troisième jour, il nous relèvera et nous vivrons devant. » Osée 6 :2
Par l’inspiration prophétique du Saint-Esprit, l’Ecriture révèle qu’en tant que croyants, nous sommes inclus dans la résurrection de Jésus. Il est mort de notre mort pour que nous puissions nous identifier à lui par le baptême en son ensevelissement et donc nous partagerons aussi sa résurrection. Ephésiens 2 :4-6.
La victoire sur tous les ennemis
La victoire de Christ nous assure la victoire sur tous nos ennemis, en particulier sur la mort.
La chrétienté est la seule religion qui a une réponse satisfaisante à la question de la mort et c’est grâce à la résurrection de Christ.
Une image glorieuse du Christ vainqueur ressuscité dans le livre de l’Apocalypse 1 :10-18.
Tout d’abord, la mort n’est pas simplement un état physique. Ce n’est pas simplement la séparation de la vie et du corps.
Nous devons savoir que la mort est déjà vaincue, mais pas encore détruite.
La mort est vaincue, mais pas détruite : entre-temps Jésus a déjà ôté l’aiguillon de la mort.
1 Cor. 15 :53-57 : « La mort a été engloutie dans la victoire. O mort, où est ta victoire ? O mort, où est ton aiguillon ? L’aiguillon de la mort, c’est le péché ; et la puissance du péché, c’est la loi. Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ ! »
La mort est maintenant esclave des desseins de Dieu, une vaincue attendant d’être détruite. (Romains 8 :35-39)
Christ est notre vie : Rien ne peut atteindre cette vie, rien ne peut la détruire.
Elle est indestructible et entièrement victorieuse.
Voyons quelques promesses que Jésus a données en anticipant sur sa victoire :
Jean 5 :24 « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole et qui croit à celui qui m’a envoyé, à la vie éternelle et ne vient pas en jugement, mais il est passé de la mort à la vie. »
Remarquez que c’est écrit au passé : la mort ne domine plus sur nous, elle ne peut plus rien contre nous. Elle est simplement la porte vers une nouvelle vie.
Nous avons l’assurance de Jésus lui-même :
Jean 8 :51-52 « En vérité, en vérité je vous le dis, si quelqu’un garde ma parole, il ne verra jamais la mort. Si quelqu’un garde ma parole, il ne goûtera jamais la mort. »
--> C’est une promesse de la bouche de Jésus : pouvez-vous le croire ?
Il ne dit pas que nous ne connaîtrons pas la mort physique, mais que les deux anges méchants de la mort et du séjour des morts qui la suivent n’auront plus aucun pouvoir sur nous. Ils sont exclus par le nom et le sang de Jésus.
Quand la mort devient notre part, nous ne descendons pas dans un autre monde, vers un royaume de ténèbres, mais nous montons dans la présence de Dieu.
Cela nous est garanti par la mort et la résurrection de Jésus pour nous.
Actes 7 :56, 59-60, en parlant d’Etienne, « … il s’endormit. »
Nous devons nous souvenir que l’Ecriture est très attentive aux mots qu’elle utilise : ici, on ne parle pas de croyants qui meurent. Il est question de ceux qui « s’endorment ». Pour eux, la mort n’est qu’un sommeil passager dont ils vont se réveiller le matin de la résurrection !!
Par sa mort et son sacrifice expiatoire, Jésus a gagné le droit d’arracher des mains de ces deux anges sataniques la mort et le séjour des morts, les clés de ce lieu d’emprisonnement. A partir de là, Jésus a le droit de libérer ceux qui ont été pardonnés. Grâce à la mort et à la résurrection de Jésus, la situation pour les croyants a radicalement changé depuis ce jour. A partir de ce moment-là, les croyants justes ne sont plus descendus dans une mort vaincue attendant d’être détruite. (Romains 8 :35-39)
Christ est notre vie : Rien ne peut atteindre cette vie, rien ne peut la détruire.
Elle est indestructible et entièrement victorieuse.
Voyons quelques promesses que Jésus a données en anticipant sur sa victoire :
Jean 5 :24 « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole et qui croit à celui qui m’a envoyé, à la vie éternelle et ne vient pas en jugement, mais il est passé de la mort à la vie. »
Remarquez que c’est écrit au passé : la mort ne domine plus sur nous, elle ne peut plus rien contre nous. Elle est simplement la porte vers une nouvelle vie.
Nous avons l’assurance de Jésus lui-même :
Jean 8 :51-52 « En vérité, en vérité je vous le dis, si quelqu’un garde ma parole, il ne verra jamais la mort. Si quelqu’un garde ma parole, il ne goûtera jamais la mort. »
--> C’est une promesse de la bouche de Jésus : pouvez-vous le croire ?
Il ne dit pas que nous ne connaîtrons pas la mort physique, mais que les deux anges méchants de la mort et du séjour des morts qui la suivent n’auront plus aucun pouvoir sur nous. Ils sont exclus par le nom et le sang de Jésus.
Quand la mort devient notre part, nous ne descendons pas dans un autre monde, vers un royaume de ténèbres, mais nous montons dans la présence de Dieu.
Cela nous est garanti par la mort et la résurrection de Jésus pour nous.
Actes 7 :56, 59-60, en parlant d’Etienne, « … il s’endormit. »
Nous devons nous souvenir que l’Ecriture est très attentive aux mots qu’elle utilise : ici, on ne parle pas de croyants qui meurent. Il est question de ceux qui « s’endorment ». Pour eux, la mort n’est qu’un sommeil passager dont ils vont se réveiller le matin de la résurrection !!
Par sa mort et son sacrifice expiatoire, Jésus a gagné le droit d’arracher des mains de ces deux anges sataniques la mort et le séjour des morts, les clés de ce lieu d’emprisonnement. A partir de là, Jésus a le droit de libérer ceux qui ont été pardonnés. Grâce à la mort et à la résurrection de Jésus, la situation pour les croyants a radicalement changé depuis ce jour. A partir de ce moment-là, les croyants justes ne sont plus descendus dans une mort vaincue attendant d’être détruite