Dieu prépare la libération de son royaume
Dieu se prépare une armée, un royaume de sacrificateurs qui ont eux-mêmes expérimenté la libération de l’emprise des conséquences du péché pour leur propre vie. Ils ont également goûté les bienfaits du pardon, de l’amour, de la miséricorde et de la grâce. Maintenant, ils sont devenus des résistants, des combattants aux côtés de leur chef Jésus qui les équipe avec des armes spirituelles : Si nous marchons dans la chair, nous ne combattons pas selon la chair. Car les armes avec lesquelles nous combattons ne sont pas charnelles ; mais elles sont puissantes, par la vertu de Dieu, pour renverser des forteresses. 2 Corinthiens 10 : 3 et 4
Car cette guerre est spirituelle et l’ennemi ainsi que son armée sont spirituels. D'où la nécessité pour les soldats de l'armée de l'Eternel d’être revêtus de la puissance du Saint Esprit et de ses dons.
Le royaume de Dieu est en mouvement
Jésus emploie plusieurs expressions qui le dénotent à plusieurs reprises notamment quand il envoie ses disciples en mission.
Allez, prêchez, et dites : Le royaume des cieux est proche. Guérissez les malades, ressuscitez les morts, purifiez les lépreux, chassez les démons. Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement. Matthieu 10 :7 et 8
C’est ainsi qu’agit Jésus pour libérer le royaume. Il va employer ces expressions.
Le royaume de Dieu est donc venu vers vous : Luc 11:20
Le royaume de Dieu s'est approché vers vous : Luc 10 : 9
Le royaume de Dieu ne vient pas de manière à frapper les regards. Il est au milieu de vous.
Luc 17:20a et 21
Jésus dit à un scribe venu vers lui et qui répond avec intelligence à ses questions : Tu n’es pas loin du royaume de Dieu.
Jésus nous donne trois conditions pour s'approcher, comprendre, voir et rentrer dans le royaume de Dieu. Ces trois conditions représentent trois clés :
- La repentance. Elle en est la première clé, nous l’avons déjà citée.
- Jésus nous invite à changer de mode de vie, à avoir un cœur d'enfant : Je vous le dis en vérité, quiconque ne recevra pas le royaume de Dieu comme un petit enfant n’y entrera point. Luc 18:17
- Jésus nous demande de naître de l’Esprit, c’est la troisième clé. Jésus va l’expliquer à Nicodème, un juif religieux qui vient le contacter de nuit.
Le royaume de Dieu n'appartient pas à la chair, car il est spirituel, le royaume de l'esprit, d'en haut. Nous sommes appelés à entrer dans le royaume de Dieu. Il est de nature spirituelle et réservé à ceux qui sont devenus fils ou filles de Dieu. Notre nature charnelle nous en interdit l'accès. Avant de voir et d'y entrer, il est nécessaire de changer de nature et de revêtir celle que Jésus nous a acquise par sa mort et sa résurrection : Jésus lui répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu. Nicodème lui dit : Comment un homme peut-il naître quand il est vieux ? Peut-il rentrer dans le sein de sa mère et naître ?
Jésus répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l’Esprit est Esprit. Ne t’étonne pas que je t’aie dit : Il faut que vous naissiez de nouveau.
Le vent souffle où il veut, et tu en entends le bruit ; mais tu ne sais d’où il vient, ni où il va. Il en est ainsi de tout homme qui est né de l’Esprit. Jean 3 : 3 à 8
Le nom de Nicodème signifie : victorieux du peuple, victoire, triompher, vaincre totalement.
Ce passage de l'Evangile de Jean nous donne l'accomplissement de la promesse donnée par le prophète Ezéchiel. Jésus aurait aimé entendre ces versets sortir de la bouche de Nicodème : Je répandrai sur vous une eau pure, et vous serez purifiés ; je vous purifierai de toutes vos souillures et de toutes vos idoles. Je vous donnerai un cœur nouveau, et je mettrai en vous un esprit nouveau ; j’ôterai de votre corps le cœur de pierre, et je vous donnerai un cœur de chair. Je mettrai mon Esprit en vous, et je ferai en sorte que vous suiviez mes ordonnances, et que vous observiez et pratiquiez mes lois. Ézékiel 36:25 27
La nouvelle naissance
L'expression « naître de nouveau » signifie littéralement naître d'en haut ou de l’Esprit. Nicodème en avait un besoin bien réel. Il avait besoin d'un changement de cœur, une transformation spirituelle, ainsi que chacun d’entre nous. La nouvelle naissance, être né de nouveau, est une action de Dieu par laquelle la vie éternelle est accordée à la personne qui croit. A ceux qui croient dans l’œuvre accomplie par Jésus sur la croix.
Mais à tous ceux qui l’ont reçue (la Parole ou Jésus), à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu. Jean 1 : 12 et 13
Ces versets nous indiquent qu'être né de nouveau implique le fait de devenir enfant de Dieu, par la foi dans le nom de Jésus Christ.
La question qui vient logiquement est celle-ci : pourquoi une personne a-t-il un tel besoin de naître de nouveau ?
L'apôtre Paul dit, dans Ephésiens 2 : 1 vous étiez morts par vos offenses et par vos péchés…donc un mort spirituel ne peut entrer dans le royaume. Dans l'épître aux Romains 3 : 23, l'apôtre affirme : car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu. Donc, toute personne a besoin de naître de nouveau afin d'obtenir le pardon de ses péchés et de rétablir sa relation avec Dieu. Autrement dit, nous avons tous besoin de mourir à notre nature pécheresse adamique reçue du premier Adam, pour recevoir la nature du deuxième Adam qui vient d'en haut. Le premier est charnel, terrestre, le deuxième Adam, Jésus, est spirituel. C'est cette nature du nouvel Adam, la nature du ressuscité qui nous permet de voir et d’entrer dans le royaume de Dieu.
Comment y parvenir ?
Ephésiens 2 : 8 et 9 déclare, car c'est par la grâce que vous êtes sauvé par le moyen de la foi, et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. Ce n'est pas par les œuvres, afin que personne ne se glorifie.
Lorsqu'une personne est née de nouveau, pardonnée et réconciliée avec le Père, renouvelée spirituellement, elle devient un enfant de Dieu par cette nouvelle naissance. Être né de nouveau spirituellement, c'est également accorder confiance à Jésus-Christ pour la direction de nos vies, lui qui a payé le prix de nos péchés en mourant sur la croix et en ressuscitant bien sûr.
Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle création. 2 Corinthiens 5 : 17
Dieu a prévu de nous permettre de ne plus être « en Adam » mais d’être « en Christ ». La naissance physique ne nous donne que la vie physique. La nouvelle naissance nous donne la vie spirituelle, éternelle que Christ promet à ceux qui viennent à lui. Nous ne recevons pas la vie éternelle lors de notre mort, nous la possédons maintenant parce que nous sommes « en Christ.»
Le royaume de Dieu est un royaume de vivants par l'Esprit : Vous étiez morts par vos offenses et par vos péchés, dans lesquels vous marchiez autrefois, selon le train de ce monde, selon le prince de la puissance de l’air, de l’esprit qui agit maintenant dans les fils de la rébellion. Nous tous aussi, nous étions de leur nombre, et nous vivions autrefois selon les convoitises de notre chair, accomplissant les volontés de la chair et de nos pensées, et nous étions par nature des enfants de colère, comme les autres… Mais Dieu, qui est riche en miséricorde, à cause du grand amour dont il nous a aimés, nous qui étions morts par nos offenses, nous a rendus vivants avec Christ (c’est par grâce que vous êtes sauvés)
Ephésiens 2 : 1 à 5
La nouvelle naissance donne la capacité de marcher par l’Esprit et de nous laisser conduire comme un voilier avec le vent favorable dans ses voiles. Nous allons reprendre ce verset important : Le vent souffle où il veut, et tu en entends le bruit ; mais tu ne sais d’où il vient, ni où il va. Il en est ainsi de tout homme qui est né de l’Esprit. Jean 3 : 8
Le vent symbolise la liberté, la puissance. Les hommes essaient de le maîtriser afin d’utiliser sa puissance comme avec le voilier. Mais quand il s’arrête de souffler aucun homme ne peut le relancer. Ainsi en est-il du Saint-Esprit dans nos vies qui nous donne la liberté, la puissance afin d’accomplir les œuvres de Dieu dans nos vies. Du Saint-Esprit, nous recevons la révélation de la Parole de Dieu, l’assurance que nous sommes devenus fils ou fille de Dieu.
Afin de participer à la libération du royaume de Dieu, posons-nous les questions suivantes :
Connaissons-nous le chef de l’armée de l’Eternel ; sommes-nous enrôlés dans son armée ?
Le peuple hébreu, conduit par Josué, vient d’entrer en Terre Promise après quarante années passées dans le désert. Josué représente un homme qui met la Parole de Dieu en pratique. Dès leur arrivée, il commence par circoncire les hommes, ce qui n’avait pas été pratiqué dans le désert. Ensuite il célèbre la Pâque. Il s’apprête à livrer la bataille contre la forteresse diabolique de Jéricho à la tête de l’armée d’Israël. Malgré cela, nous constatons, par sa question, qu’il ne connaît pas, réellement, le chef de l’armée de l’Eternel : Comme Josué était près de Jéricho, il leva les yeux, et regarda. Voici, un homme se tenait debout devant lui, son épée nue dans la main. Il alla vers lui, et lui dit : Es-tu des nôtres ou de nos ennemis ? Il répondit : Non, mais je suis le chef de l’armée de l’Eternel, j’arrive maintenant. Josué tomba le visage contre terre, adora, et dit : Qu’est-ce que mon seigneur dit à son serviteur ? Et le chef de l’armée de l’Eternel dit à Josué : Ôte tes souliers de tes pieds, car le lieu sur lequel tu te tiens est saint. Et Josué fit ainsi. Josué 5 : 13 à 15
Il est étonnant que Josué n’ait pas identifié le chef de l’armée de l’Eternel. Pourtant il était un proche de Moïse. Il l’accompagnait toujours quand ce dernier se rendait à la tente de la rencontre. Il entendait l’Eternel parler à Moïse et réciproquement, n’oublions pas que Moïse avait fait une rencontre personnelle avec l’Eternel lors de son séjour sur la montagne qui dura quarante jours. La Bible nous précise que Josué restait dans la présence de l’Eternel, après le départ de Moïse. Toutefois dans le temple, il se tenait en deçà du voile et ce voile lui cachait la présence de l’Eternel.
Quels enseignements retenons-nous de ces faits vécus par le peuple d’Israël sous la conduite de Josué ?
Nous découvrons que c’est seulement après cette précieuse rencontre que Josué va recevoir la stratégie, les consignes nécessaires pour vaincre Jéricho et ses murailles.
Nous ne gagnerons pas de bataille contre le royaume des ténèbres, sans avoir fait une rencontre avec le chef de l’armée de l’Eternel ou Jésus, notamment par la nouvelle naissance. Nous devons combattre selon ses ordres comme Josué en obéissant à sa Parole : Qu’est-ce que mon Seigneur dit à son serviteur ? Ce qui signifie quels sont tes ordres, tes stratégies pour combattre l’ennemi ? La réponse donnée par Jésus est inattendue : Ôte tes souliers de tes pieds, car le lieu sur lequel tu te tiens est saint. Et Josué fit ainsi. Autrement dit, Jésus recommande la sainteté à Josué et à nous-mêmes, comme première condition pour combattre contre le royaume des ténèbres ou contre une forteresse de l’ennemi.
Dans la circonstance, il s’agit de la forteresse de Jéricho entourée de murailles. Jéricho est la ville du dieu lune, de l’impureté, de la souillure spirituelle. Ses habitants y vivent sans crainte de l’Eternel. Ils adorent d’autres dieux notamment : Asherah, Anath et Ashtoreth, patronne du sexe et de la guerre. Toutes ces divinités adorées expriment la corruption morale des habitants.
Nous remarquons que Josué recevra la stratégie pour prendre Jéricho, seulement après cette rencontre avec le chef de l’armée de l’Eternel. Cette stratégie ne correspond à aucun entendement humain : Faites le tour de la ville, vous tous les hommes de guerre, faites une fois le tour de la ville. Tu feras ainsi pendant six jours. Sept sacrificateurs porteront devant l’arche sept trompettes retentissantes ; le septième jour, vous ferez sept fois le tour de la ville ; et les sacrificateurs sonneront des trompettes. Quand ils sonneront de la corne retentissante, quand vous entendrez le son de la trompette, tout le peuple poussera de grands cris. Alors la muraille de la ville s’écroulera, et le peuple montera, chacun devant soi. Josué 6 : 3 à 5
Cette stratégie met en évidence toute l’importance de l’obéissance et la place de la louange dans nos combats spirituels. La Bible nous en donne plusieurs exemples et nous en retiendrons deux.
Le premier, avec le roi Josaphat qui part au combat en mettant en avant une équipe de louange. Pendant ce temps, l’Eternel sème la confusion dans les rangs ennemis qui s’entretuent.
Le deuxième, nous le trouvons dans le livre des Actes avec l’apôtre Paul et Silas. Ensemble, ils se rendent dans la ville de Philippes afin d’y annoncer la bonne nouvelle. Ils sont battus de verges, jetés en prison avec les ceps aux pieds. Dans la nuit Paul et Silas louent l’Eternel et cela provoque un tremblement de terre. Les portes de la prison s’ouvrent et les liens de tous les prisonniers sont rompus. A la vue de cet événement, le geôlier et toute sa famille acceptent Jésus comme Seigneur et Sauveur.
Aujourd’hui sommes-nous engagés sous la bannière de Yahvé-Nissi, la bannière de la victoire ?
Quelles sont les armes spirituelles à employer pour combattre un ennemi spirituel ?
C’est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté. Tenez donc ferme : ayez à vos reins la vérité pour ceinture ; revêtez la cuirasse de la justice ; mettez pour chaussures à vos pieds le zèle que donne l’Evangile de paix ; prenez par dessus tout cela le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du malin ; prenez aussi le casque du salut, et l’épée de l’Esprit, qui est la parole de Dieu. Ephésiens 6 : 13 à 17
Dans ces versets, la Parole de Dieu cite six armes spirituelles et elle les classe en deux catégories : cinq sont des armes défensives, une seule est offensive.
- La ceinture de la vérité, la cuirasse de justice, les chaussures du zèle que donne l’Evangile de paix, le bouclier de la foi, le casque du salut.
- L’épée de l’Esprit, qui est la Parole de Dieu.
C’est ainsi, avec l’épée de l’Esprit ou la Parole, que Jésus mit en fuite le tentateur lors de son jeûne dans le désert. Satan demande à Jésus de l’adorer : Jésus lui dit : Retire-toi, Satan ! Car il est écrit : Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul. Alors le diable le laissa. Matthieu 4 : 10 et 11b
Toutes ces armes sont importantes et nous retenons plus particulièrement le bouclier de la foi. Bien sûr, nous savons tous que sans la foi nul n’est agréable à l’Eternel.
Prenez par–dessus tout cela le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du malin.
Voici une illustration du bouclier de la foi
Un jour, avec mon épouse nous rendions visite à une cousine âgée. La télévision était allumée et le resta durant notre présence. Pendant la conversation, mon attention fut attirée par la scène qui se présentait à mon regard : la prise d’un château fort érigé en forteresse. Il était entouré de grandes douves remplies d’eau, le pont-levis levé ; une haute muraille l’encerclait. Il était surmonté d’un haut donjon. Des ennemis l’encerclaient. Avec l’aide d’engins de guerre, ils lançaient de grosses pierres contre la muraille afin de la percer, mais en vain. Finalement, ils trouvèrent le point faible de cette forteresse : une porte de bois desséchée et placée sur une face du donjon. Alors ils tirèrent des flèches enduites de graisse et enflammées contre cette porte. Rapidement elle prit feu et les flammes se communiquèrent à toute la forteresse.
Ces flèches enflammées symbolisent les traits enflammés du malin. La porte de bois nous parle des œuvres de notre chair qui ne résisteront pas au feu du Saint-Esprit. Elle symbolise également notre bouclier de la foi qui peut-être desséché comme cette porte. Si c’est le cas, nous ne résisterons pas aux traits enflammés du malin, nous allons subir son feu destructeur. Par contre, quand notre bouclier de la foi est bien imprégné de l’onction du Saint-Esprit, les flèches glissent et tombent à terre : Montagnes de Guilboa ! Qu’il n’y ait sur vous ni rosée ni pluie, Ni champs qui donnent des prémices pour les offrandes ! Car là ont été jetés les boucliers des héros, le bouclier de Saül ; l’huile a cessé de les oindre. 2 Samuel 1 :21
Ces paroles ont été prononcées par le roi David, après la mort du roi Saül sur le champ de bataille à cause de sa désobéissance. La veille, il avait consulté une voyante afin de savoir s’il vaincrait les Philistins ou les ennemis d’Israël.
La prière et l’intercession ont également une grande action dans la libération du royaume : la prière agissante du juste a une grande efficacité. La Bible nous cite le prophète Elie qui : pria avec instance pour qu’il ne pleuve point, et il ne tomba point de pluie sur la terre pendant trois ans et six mois. Puis il pria de nouveau, et le ciel donna de la pluie, et la terre produisit son fruit. Jacques 5 : 17b et 18
Comme exemple d’intercession nous retenons celle d’Abraham en faveur de Sodome et Gomorrhe. L’Eternel décide de détruire ces villes à cause de leurs péchés de dépravation. Toutefois, il prévient son « ami » Abraham. Ce dernier pense à son neveu Lot, qui habite à Sodome et va périr. Aussitôt, Abraham élève sa voix vers l’Eternel et intercède en faveur des justes de la ville. L’Eternel exauce son intercession et sauve Lot d’une mort certaine. Comme Jésus, nous sommes oints et appelés à libérer les captifs du royaume des ténèbres.
Car ce n’est pas un esprit de timidité, de lâcheté ou de défaitisme que Dieu nous a donné, mais un esprit de courage, d’amour et d’enthousiasme, c’est un esprit actif et aimant qui nous rend forts et aimants ; il nous donne un jugement sain et une parfaite maîtrise de nous–mêmes. Bible Parole vivante 2 Timothée 1 : 7
Nos bonnes œuvres, préparées par notre Dieu, libèrent le royaume de Dieu et Jésus nous dit: Vous êtes la lumière du monde. Que votre lumière luise ainsi devant les hommes, afin qu’ils voient vos bonnes œuvres, et qu’ils glorifient votre Père qui est dans les cieux.
Matthieu 5 : 14a et 16
Souvenons-nous que nous sommes des ambassadeurs du royaume de Dieu, des ouvriers de paix, de réconciliation. Les ambassades représentent des extensions du pays d’origine, dans la circonstance, du ciel sur la terre.