Par son sang, Jésus nous ouvre une voie nouvelle
le sang de Jésus doit toujours nous précéder.
Le désert et le pays aride se réjouiront ; La solitude s’égaiera, et fleurira comme un narcisse. Esaïe 35- 1
Entre Dieu et nous, il y avait un désert, sans chemin d'accès, un désert infranchissable.
Notre vie était un désert, une terre aride, une terre de solitude, une terre desséchée, stérile.
Aucune œuvre des religions n'a pu ouvrir cet accès vers Dieu. Ni Bouddha ni aucun autre dieu n’ont pu ouvrir ou tracer ce chemin vers Dieu. Entre Dieu et nous, il y avait plein d'animaux sauvages, de chacals, de lions, des entités spirituelles. Mais tous ces obstacles disparaissent de cette voie ouverte par Jésus.
Il y aura là un chemin frayé, une route, Qu’on appellera la voie sainte ; Nul impur n’y passera ; elle sera pour eux seuls ; Ceux qui la suivront, même les insensés, ne pourront s’égarer. Sur cette route, point de lion ; Nulle bête féroce ne la prendra, Nulle ne s’y rencontrera ; Les délivrés y marcheront.
Les rachetés de l’Eternel retourneront, Ils iront à Sion avec chants de triomphe, Et une joie éternelle couronnera leur tête ; L’allégresse et la joie s’approcheront, La douleur et les gémissements s’enfuiront.
Esaie 35 : 8 à 10
Jésus notre souverain sacrificateur
Dans le naturel ou selon la loi de Moïse, Jésus n'aurait pu être souverain sacrificateur. Seuls les descendants de la tribu de Lévi, et plus spécialement les descendants de la famille d’Aaron étaient habilités, choisis par Dieu pour accomplir cette mission de souverain sacrificateur.
Jésus, sur le plan humain, est descendant ou fils de David qui appartenait à la tribu de Juda. Mais Dieu est au-dessus des lois qu'il institue, il n'en est pas prisonnier.
Jésus a été choisi, déclaré le souverain sacrificateur par serment :
Car ce témoignage lui est rendu : Tu es sacrificateur pour toujours, Selon l’ordre de Melchisédek.
Car les Lévites sont devenus sacrificateurs sans serment, mais Jésus l’est devenu avec serment par celui qui lui a dit : Le Seigneur a juré, et il ne se repentira pas, Tu es sacrificateur pour toujours, Selon l’ordre de Melchisédek ;
Mais lui, parce qu’il demeure éternellement, possède un sacerdoce qui n’est pas transmissible.
Hébreux 7- 17 et 21-24 et 25
Nous trouvons Melchisédek dans le livre de la Genèse. Il nous est présenté comme une figure de Christ qui remplissait parfaitement son office de souverain sacrificateur.
C’est aussi pour cela qu’il peut sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur.
Et Christ ne s’est pas non plus attribué la gloire de devenir souverain sacrificateur, mais il la tient de celui qui lui a dit : Tu es mon Fils, Je t’ai engendré aujourd’hui ! Hébreux 5-5
En effet, la loi établit souverains sacrificateurs des hommes sujets à la faiblesse ; mais la parole du serment qui a été fait après la loi établit le Fils qui est parfait, pour l’éternité.
Le point capital de ce qui vient d’être dit, c’est que nous avons un tel souverain sacrificateur, qui s’est assis à la droite du trône de la majesté divine dans les cieux, Comme ministre du sanctuaire et du véritable tabernacle, qui a été dressé par le Seigneur et non par un homme.
Tout souverain sacrificateur est établi pour présenter des offrandes et des sacrifices ; il est donc nécessaire que celui–ci ait aussi quelque chose à présenter.
S’il était sur la terre, il ne serait même pas sacrificateur, puisque là sont ceux qui présentent les offrandes selon la loi.
Hébreux 7- 28 et 8 – 1 à 4
Mais Christ est venu comme souverain sacrificateur des biens à venir ; il a traversé le tabernacle plus grand et plus parfait, qui n’est pas construit de main d’homme, c’est–à–dire qui n’est pas de cette création ;
Et ce n’est pas pour s’offrir lui–même plusieurs fois qu’il y est entré, comme le souverain sacrificateur entre chaque année dans le sanctuaire mais pour offrir un autre sang que le sien. Hébreux 9 - 11 et 23
Ainsi, puisque nous avons un grand souverain sacrificateur qui a traversé les cieux, Jésus, le Fils de Dieu, demeurons fermes dans la foi que nous professons.
Car nous n’avons pas un souverain sacrificateur qui ne puisse compatir à nos faiblesses ; au contraire, il a été tenté comme nous en toutes choses, sans commettre de péché.
Approchons nous donc avec assurance du trône de la grâce, afin d’obtenir miséricorde et de trouver grâce, pour être secourus dans nos besoins.
Hébreux 4 : 14 à 16
Cette espérance, nous la possédons comme une ancre de l’âme, sûre et solide ; elle pénètre au–delà du voile, là où Jésus est entré pour nous comme précurseur, ayant été fait souverain sacrificateur pour toujours, selon l’ordre de Melchisédek.
Hébreux 6 : 19 et 20
L’ancre dans le naturel sert à stabiliser les bateaux. L’ancre est constituée par une pièce de métal qui se termine par deux crochets. Elle est reliée au bateau soit par des cordages ou des chaînes. Il existe plusieurs sortes d’ancres : L’une d’elles se nomme l’ancre de miséricorde.
Qu’est ce qu’une ancre de miséricorde ?
Au temps de la marine à voile, cette ancre, appelée aussi ancre de salut ou ancre maîtresse, était l'ancre la plus grande et la plus pesante du bord. Elle était utilisée pour les mouillages de longue durée ou dans des endroits peu sûrs. À cause de son poids, elle était aussi utilisée en dernier recours dans les cas désespérés.
Comme cette ancre est en quelque sorte la dernière planche de salut et qu'en la jetant il n'y a plus qu'à se recommander à Dieu, les marins l'ont appelée ancre de miséricorde.
Sur le plan spirituel, devant Dieu, nous étions dans une situation désespérée comme ces marins : condamnés à la mort éternelle. Jésus notre souverain sacrificateur est devenu notre ancre de miséricorde. Il nous offre un point d’ancrage infaillible dans les lieux célestes et plus précisément dans le lieu très saint, là où se tient le trône du Père. Le moyen qui relie notre âme à ce point d’ancrage se nomme la foi.
Quand Jésus mourut sur la croix, son sacrifice n'était pas seulement destiné au pardon, à la délivrance et à la purification du péché, mais le voile de sa chair fut déchiré pour que nous entrions dans le lieu très saint où Dieu siège sur son trône. La salle du trône de Dieu est le lieu de la plus profonde intimité et adoration offert à tous les croyants.
De même que nous voyons des symboles dans l'Ancien Testament quand nous étudions le temple; à quel point les endroits destinés à l'adoration et aux sacrifices sont une image des cieux. Nous pouvons désormais passer du parvis extérieur au lieu le plus saint du sanctuaire de Dieu : Le lieu très saint, sans exclure le fait que le Saint-Esprit habite en nous dans le lieu le plus saint de nos cœurs.
Nous sommes appelés à l’adoration dans le lieu très saint.
Quand les êtres vivants rendent gloire et honneur et actions de grâces à celui qui est assis sur le trône, à celui qui vit aux siècles des siècles, les vingt-quatre vieillards se prosternent devant celui qui est assis sur le trône et ils adorent celui qui vit aux siècles des siècles, et ils jettent leurs couronnes devant le trône, en disant: Tu es digne, notre Seigneur et notre Dieu, de recevoir la gloire et l'honneur et la puissance; car tu as créé toutes choses, et c'est par ta volonté qu'elles existent et qu'elles ont été créées ».
Apocalypse 4 : 9 à 11
Dieu nous offre un privilège, par grâce. Il nous met au bénéfice du sacrifice de Jésus sur la croix. Maintenant, nous sommes invités à rentrer dans le lieu très saint pour adorer, non une fois par an, ou parce que nous sommes nés dans la famille de Lévi ou dans la tribu de Lévi. Notre privilège trouve sa source dans ces versets.
Et de la part de Jésus–Christ, le témoin fidèle, le premier–né des morts, et le prince des rois de la terre ! A celui qui nous aime, qui nous a délivrés de nos péchés par son sang, et qui a fait de nous un royaume, des sacrificateurs pour Dieu son Père, à lui soient la gloire et la puissance, aux siècles des siècles ! Amen !
Apocalypse 1 : 5 et 6
Par la nouvelle naissance, Jésus, notre souverain sacrificateur, nous donne la capacité de devenir des sacrificateurs, un royaume de sacrificateurs pour Dieu son Père, et de rentrer dans le lieu très saint chaque jour.
Les fils d’Aaron, le souverain sacrificateur de l’Ancien Testament, bien qu’étant fils et sacrificateurs n’avaient pas l’autorisation d’aller au-delà du voile, sous peine de mort. Leur mission s’arrêtait dans le lieu saint.
Nous sommes appelés à vivre ce privilège en nous présentant par la voie nouvelle que Jésus a inauguré, l’accès au trône de la grâce.
Et il est entré une fois pour toutes dans le lieu très saint, non avec le sang des boucs et des veaux, mais avec son propre sang, ayant obtenu une rédemption éternelle.
Hébreux 9 : 12
Ainsi donc, frères, nous avons, au moyen du sang de Jésus, une libre entrée dans le sanctuaire par la route nouvelle et vivante qu’il a inaugurée pour nous au travers du voile, c’est–à–dire de sa chair, et nous avons un souverain sacrificateur établi sur la maison de Dieu.
Approchons nous donc avec un cœur sincère, dans la plénitude de la foi, les cœurs purifiés d’une mauvaise conscience, et le corps lavé d’une eau pure.
Hébreux 10 : 20 à 22
Vous cher lecteur ou lectrice qui venez de lire ce message, sachez que vous êtes aimé par ce Dieu créateur du ciel et de la terre. IL vous cherche, il attend que vous vous laissiez rencontrer avec lui. Car il a une destinée pour vous personnellement, un plan de bonheur, il désire que vous le connaissiez pour vous manifester son amour et que vous deveniez membre de sa famille. Il vous donne et vous ouvre le chemin qui accède directement à son cœur. Ce chemin se nomme Jésus, qui a dit : Je suis le chemin, la vérité, la vie, nul ne vient au Père que par moi. Jean14-6
Jésus vous dit: Voici je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi. Apocalypse 3-20
Oui Jésus frappe à la porte de ton cœur, il attend que tu lui dises de rentrer. C’est très simple, car Dieu est simple. Il suffit de lui adresser cette prière bien simplement mais bien sincèrement:
Seigneur Jésus je te remercie de ton amour et de ce que tu es venu dan le monde mourir pour moi. Je reconnais que j’ai dirigé ma vie, jusqu’à présent, comme je l’ai décidé et qu’aussi j’ai péché contre toi. Je crois que tu es mort sur une croix et que tu as versé ton sang pour que j’aie le pardon de mes péchés. Je veux te recevoir dans ma vie et obtenir le pardon de mes péchés. Et je t’invite dans mon cœur pour que tu prennes la première place, que tu sois mon Seigneur et que tu diriges ma vie, selon tes lois.
Merci pour le pardon de mes péchés. Fais de moi la personne que tu désires que je sois. Je crois que tu es vivant, ressuscité. Je te remercie d’avoir répondu à ma prière et d’être maintenant dans ma vie.