Jésus est- il réellement mort et ressuscité?

Publié le par Fils d'Abraham en Jésus mon sauveur

1)- Les soldats vinrent donc, et ils rompirent les jambes au premier, puis à l’autre qui avait été crucifié avec lui.

 S’étant approchés de Jésus, et le voyant déjà mort, ils ne lui rompirent pas les jambes ; mais un des soldats lui perça le côté avec une lance, et aussitôt il sortit du sang et de l’eau.              Jean 19-32 à 34

Nous savons aujourd'hui que le phénomène de séparation du sang coagulé et du sérum ou de l'eau, est une preuve médicale que Jésus était bien mort quand son corps a été déposé au tombeau. Jean ne l'a pas écrit, parce qu'il ne connaissait pas cette réalité médicale à cette époque. Voilà une preuve médicale que Jésus a bien connu la mort.

2)-un disciple de Jésus nommé Joseph d'Arimathée demande à Pilate le gouverneur romain, la permission de prendre le corps de Jésus sur la croix.

L’ensevelissement du corps de Jésus, par Joseph d’Arimathée, nous confirme sa mort.

Joseph prit le corps, l’enveloppa d’un linceul blanc.          Matthieu  27 : 59

Ensuite la mort de Jésus est attestée par le rapport du centenier romain.

 Joseph va  mettre le corps de Jésus dans le tombeau neuf qu'il s'était fait tailler pour lui-même. Pilate s'étonne que Jésus soit déjà mort. Il envoie un centenier vérifier les paroles de Joseph, ce centenier les confirme.

Arriva Joseph d’Arimathée, conseiller de distinction, qui lui–même attendait aussi le royaume de Dieu. Il osa se rendre vers Pilate, pour demander le corps de Jésus.

Pilate s’étonna qu’il soit mort si tôt ; il fit venir le centenier et lui demanda s’il était mort depuis longtemps. S’en étant assuré par le centenier, il donna le corps à Joseph.                      Marc 15-43 à 45

Et le déposa dans un sépulcre neuf, qu’il s’était fait tailler dans le roc. Puis il roula une grande pierre à l’entrée du sépulcre, et il s’en alla.     Matthieu 27 : 60

 

Les soldats Romains avaient l’habitude de côtoyer les crucifiés et de reconnaître si un crucifié était déjà mort ou ne l'était pas.

 

Les quatre évangiles nous citent une référence attestant la mort de Jésus.

 

 Jésus poussa de nouveau un grand cri, et rendit l’esprit.

                               Matthieu 25-50 

 Mais Jésus, ayant poussé un grand cri, expira.

                                       Marc 15-37 

 Jésus s’écria d’une voix forte : Père, je remets mon esprit entre tes mains. Et, en disant ces paroles, il expira.

                                         Luc 23-46 

 Quand Jésus eut pris le vinaigre, il dit : Tout est accompli. Et, baissant la tête, il rendit l’esprit. Jean 19-30

L'évangile de Jean nous précise que  les soldats romains n'ont pas brisé les jambes de Jésus parce qu'il était déjà mort.

Etait-il important que Jésus connaisse la mort, expérimente la mort ?

 

Il existe deux sortes de connaissance

 

 La connaissance « eido » ou la connaissance de l’âme. Nous la retrouvons dans la connaissance du médecin ou du spécialiste par exemple avec la maladie. Ils sont capables de discerner, avec un microscope, les virus, les microbes ou les bactéries qui provoquent une maladie bien précise.

 Cette connaissance se situe en dehors d’eux-mêmes. La maladie ne les affecte pas dans leur être. Ils en  connaîtront les symptômes, seulement en écoutant une personne malade. La connaissance du médecin va le rendre capable de lutter contre ce virus qui provoque la maladie par exemple.

Par contre le malade, d’un cancer par exemple, parce qu’il l’expérimente dans sont corps, en a une connaissance intime. Cette connaissance nous la nommons « yada »  ou connaissance intime. Elle n’a rien d’intellectuelle. Ces deux connaissances restent propres à chacun. Le médecin ou le spécialiste ne rejoint son patient seulement que d’une manière intellectuelle.

 

En Jésus nous trouvons ces deux  types de connaissance : la connaissance « eido » comme Fils de Dieu et la connaissance « yada » comme fils de l’homme. C’est dans sa propre mort que Jésus nous a rejoints au plus profond de notre détresse. Il a connu les deux aspects de la morts : Comme Dieu ou comme  « spécialiste » et pour l’avoir expérimentée.

Comment aurait-il pût dire : je suis la résurrection et la vie, s’il n’avait expérimenté la mort. S’il n’avait pas connu la mort il n’aurait pas expérimenté la résurrection ?

Jésus lui dit : Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, même s’il meurt ;  et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ?

Jésus avait lui-même annoncé sa mort plusieurs fois dans les évangiles.                 Jean 11 : 25 et 26

Bien sûr jésus a ressuscité des morts. Toutefois il existe une grande différence entre ressusciter des morts et être ressusciter des morts. C’est la raison pour laquelle il était important que jésus connaisse la mort, afin d’expérimenter et de confirmer qu’il est bien la résurrection et la vie. Tout ce que Jésus dit, il le vit, l’expérimente. Par sa mort et sa résurrection nous confirme qu’il a bien la capacité de nous ressusciter un jour

Bouddha et Mahomet sont restés au stade de la connaissance de la théorie ou du spécialiste.

 

 Jésus nous dit encore

 

Ecris à l’ange de l’Eglise de Smyrne : Voici ce que dit le premier et le dernier, celui qui était mort, et qui est revenu à la vie.

                                    Apocalypse 2 : 8

Je suis le premier et le dernier, et le vivant. J’étais mort ; et voici, je suis vivant aux siècles des siècles. Je tiens les clés de la mort et du séjour des morts.     Apocalypse 1 : 18

Ce verset nous permet de découvrir une autre facette importante concernant la mort et la résurrection de jésus : Il a repris les clés du séjour des morts à celui qui les détenait injustement : Satan. Maintenant Jésus peut nous délivrer de la captivité de la mort.

 

Jésus avait lui-même annoncé sa mort plusieurs fois dans les évangiles

 

 Jésus leur répondit : Détruisez ce temple, et en trois jours je le relèverai. Les Juifs dirent : Il a fallu quarante six ans pour bâtir ce temple, et toi, en trois jours tu le relèveras ! Mais il parlait du temple de son corps.       Jean 2-19 à 21

En effet, tout comme Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre du grand poisson, de même le Fils de l’homme sera trois jours et trois nuits dans le cœur de la terre.                                Matthieu 12-40

Dès lors Jésus commença à faire connaître à ses disciples qu’il fallait qu’il aille à Jérusalem, qu’il souffre beaucoup de la part des anciens, des principaux sacrificateurs et des scribes, qu’il soit mis à mort, et qu’il ressuscite le troisième jour.                          Matthieu 16-21

 Ici nous remarquons que  Jésus ne dissocie pas sa mort de sa résurrection :

Car il enseignait ses disciples, et il leur dit : Le Fils de l’homme sera livré entre les mains des hommes ; ils le feront mourir, et, trois jours après qu’il aura été mis à mort, il ressuscitera.                 Marc 9 : 31

 Voici, nous montons à Jérusalem, et le Fils de l’homme sera livré aux principaux sacrificateurs et aux scribes. Ils le condamneront à mort, et ils le livreront aux païens, qui se moqueront de lui, cracheront sur lui, le battront de verges, et le feront mourir ; et, trois jours après, il ressuscitera.          Marc 10-33 et 34

Maintenant, nous allons nous attarder sur les faits et les agissements des principaux sacrificateurs et des pharisiens après la mise au tombeau du corps de Jésus.

Les enseignements de Jésus, ses miracles, ses reproches qu’il adressait aux sacrificateurs et aux pharisiens les agaçaient beaucoup. Il provoquait également des grincements de dents, de la jalousie car il attirait les foules à lui. C'était devenu insupportable pour eux.

 

 Ils cherchaient depuis longtemps, un moyen de le faire disparaître, de le tuer. Mais sans que cet acte  soit perpétré par eux-mêmes. C'est la raison pour laquelle ils ont eu recours aux romains, les envahisseurs qui asservissaient Israël ou les ennemis d’Israël.

Le souverain sacrificateur de l'époque n'était plus un des descendants de la famille d'Aaron, comme Dieu l’avait ordonné à Moïse. Ils étaient choisis et nommés par les autorités romaines. Ces dernières choisissaient des hommes qui collaboraient avec elles.

 

 Le souverain sacrificateur Caïphe, qui était en exercice quand Jésus comparu devant lui, en est un exemple. Il avait été nommé souverain sacrificateur en l'an 18 par Valérius Gratus, préfet Romains de la Judée à cette époque.

L'histoire nous précise que Caïphe resta 18 ans dans cette fonction parce qu'il servait les intérêts Romains. D'ailleurs, tout souverain sacrificateur de cette époque qui n'agissait pas strictement dans l'intérêt des Romains était révoqué.

Voilà ce qui explique pour une part la déclaration suivante de Caïphe envers Jésus,  même si elle a une valeur prophétique. Il dit de Jésus :

 

 Si nous le laissons faire, tous croiront en lui, et les Romains viendront détruire et notre ville et notre nation.

L’un d’eux, Caïphe, qui était souverain sacrificateur cette année là, leur dit : Vous n’y comprenez rien ; vous ne réfléchissez pas qu’il est dans votre intérêt qu’un seul homme meure pour le peuple, et que la nation entière ne périsse pas.

 Dès ce jour, ils résolurent de le faire mourir. Jean 11-48 à 50 et 53

 

Cette déclaration de Caïphe révèle plusieurs aspects

 

1 Caïphe défend et essaie de sauvegarder sa fonction devant les autorités romaines.

2-officiellement il semble défendre les intérêts de la nation d'Israël. En fait c'est de la supercherie, un mensonge puisqu'il collabore avec les ennemis d'Israël.

3-en collaborant avec les Romains, Caïphe à trouvé une solution pour exécuter Jésus sans avoir lui-même, en apparence, du sang sur les mains.

 

Devant les autorités romaines, les principaux sacrificateurs et les pharisiens présentent Jésus comme un roi concurrent de César.  Ils déclarent :

Nous n'avons pas d'autre roi que César. Bien sûr, toutes ces paroles résultent de  mensonges, de manigances pour que les autorités romaines voient ou soupçonnent   Jésus d’être un danger contre l'empereur César. Ils le présentent comme l'instigateur potentiel d’une révolte contre les Romains car il attire les foules à lui.

 

Après l'ensevelissement de Jésus, les principaux sacrificateurs continuent d'œuvrer sous le couvert des autorités romaines. Ils leur demande qu’une garde  soit établie autour du sépulcre où Jésus avait été déposé.

Devant ces mêmes autorités romaines, les principaux sacrificateurs et les pharisiens présentent Jésus comme un roi concurrent de César. Ils déclarent même :

Nous n'avons pas d'autre roi que César.

 

 Comme si pendant la dernière guerre, les Français avaient déclaré : nous n’avons pas d’autre chef hormis Hitler.

Bien sûr, toutes ces paroles résultent de  mensonge, de manigances pour que les autorités romaines voient en Jésus un danger contre l'empereur César et l'instigateur d’une révolte contre les Romains car il attire les foules à lui.

Les pharisiens et les principaux sacrificateurs déclarent craindre que les disciples  de Jésus viennent enlever son corps et le déclare ressuscité. Ces hommes traitent Jésus d'imposteur. Ils vont trouver Pilate pour lui demander de parer à toute tentative d'enlèvement. Pilate leur donne satisfaction. Le tombeau sera gardé et scellé jusqu'au troisième jour.

 Ils s’en allèrent, et s’assurèrent du sépulcre au moyen de la garde, après avoir scellé la pierre.

                                   Matthieu 27-66

 

Le matin du troisième jour, la Bible nous précise

 

 Il y eut un tremblement de terre. Nous précisons que dans tout ce qui va se manifester autour ou dans le tombeau ce matin du troisième jour, rien n'est provoqué par les hommes, ni contre la garde romaine ou l'autorité romaine.

 

 Après le sabbat, à l’aube du premier jour de la semaine, Marie de Magdala et l’autre Marie allèrent voir le sépulcre.

 Et voici, il y eut un grand tremblement de terre ; car un ange du Seigneur descendit du ciel, vint rouler la pierre, et s’assit dessus.

 Son aspect était comme l’éclair, et son vêtement blanc comme la neige.

 Les gardes tremblèrent de peur, et devinrent comme morts.

 Mais l’ange prit la parole, et dit aux femmes : Pour vous, ne craignez pas ; car je sais que vous cherchez Jésus qui a été crucifié.

 Il n’est point ici ; il est ressuscité, comme il l’avait dit. Venez, voyez le lieu où il était couché.

 

Et voici, Jésus vint à leur rencontre, et dit : Je vous salue. Elles s’approchèrent pour saisir ses pieds, et elles l’adorèrent.

 Alors Jésus leur dit : Ne craignez pas ; allez dire à mes frères de se rendre en Galilée : c’est là qu’ils me verront.

 

Pendant qu’elles étaient en chemin, quelques hommes de la garde entrèrent dans la ville, et annoncèrent aux principaux sacrificateurs tout ce qui était arrivé. Ceux–ci, après s’être assemblés avec les anciens et avoir tenu conseil, donnèrent aux soldats une forte somme d’argent, en disant : Dites : Ses disciples sont venus de nuit le dérober, pendant que nous dormions.

 Et si le gouverneur l’apprend, nous l’apaiserons, et nous vous tirerons de peine. Les soldats prirent l’argent, et suivirent les instructions qui leur furent données. Et ce bruit s’est répandu parmi les Juifs, jusqu’à ce jour.

 Matthieu 28 : 1 à 6 - 9 et 10 -11 à 15

 

L’évangile de Jean nous rapporte un détail important, si besoin était, que le corps de Jésus n’a pas été enlevé par ses disciples.

(Jean) s’étant baissé, il vit les bandes qui étaient à terre, cependant il n’entra pas.  Simon Pierre, qui le suivait, arriva et entra dans le sépulcre ; il vit les bandes qui étaient à terre,  et le linge qu’on avait mis sur la tête de Jésus, non pas avec les bandes, mais plié dans un lieu à part.

                                        Jean 20 : 5 à 7

Si des hommes étaient venus enlever le corps de Jésus dans le tombeau à la face des soldats romains, ils n’auraient pas pris le temps d’enlever les bandes et de plier le linge qui couvrait le visage de Jésus.

 

Nous allons énumérer les obstacles à franchir 

 

Passer devant la garde romaine sans être vu.

Briser les sceaux posés qui scellaient la pierre.

Rouler la pierre.

Enfin rentrer dans le tombeau, prendre le temps d’enlever les bandes enroulées autour du corps de Jésus.

Les soldats romains risquaient la peine de mort pour la moindre erreur.

 

Jésus est-il vraiment ressuscité ?

 

Le jour de la pentecôte, l’apôtre Pierre se présente devant la foule qui s’amasse devant le lieu où les 120 attendaient la venue du Saint-Esprit, comme Jésus leur avait promis. Il éleva la voix et dit notamment : Dieu l’a ressuscité des morts, il n’était pas possible qu’il soit retenu par elle.

Cet homme (Jésus), livré selon le dessein arrêté et selon la prescience de Dieu, vous l’avez crucifié, vous l’avez fait mourir par la main des impies.

Dieu l’a ressuscité, en le délivrant des liens de la mort, parce qu’il n’était pas possible qu’il soit retenu par elle.

                                   Actes 2 : 23 et 24

 

L’apôtre Paul nous dit que Dieu a ressuscité Jésus par la puissance de sa gloire.

Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême en sa mort, afin que, comme Christ est ressuscité des morts par la gloire du Père.

                                       Romains 6 : 4a

 

Après sa résurrection jésus s’est présenté devant ses disciples

 

Le soir de ce jour, qui était le premier de la semaine, les portes du lieu où se trouvaient les disciples étant fermées, à cause de la crainte qu’ils avaient des Juifs, Jésus vint, se présenta au milieu d’eux, et leur dit : La paix soit avec vous !

 Et quand il eut dit cela, il leur montra ses mains et son côté. Les disciples furent dans la joie en voyant le Seigneur.

Thomas, appelé Didyme, l’un des douze, n’était pas avec eux lorsque Jésus vint.

 Les autres disciples lui dirent donc : Nous avons vu le Seigneur. Mais il leur dit : Si je ne vois dans ses mains la marque des clous, et si je ne mets mon doigt dans la marque des clous, et si je ne mets ma main dans son côté, je ne croirai point.

 Huit jours après, les disciples de Jésus étaient de nouveau dans la maison, et Thomas se trouvait avec eux. Jésus vint, les portes étant fermées, se présenta au milieu d’eux, et dit : La paix soit avec vous !

Puis il dit à Thomas : Avance ici ton doigt, et regarde mes mains ; avance aussi ta main, et mets la dans mon côté ; et ne sois pas incrédule, mais crois. Jean 20 :19 et 20 -19 à 21

 

Après sa résurrection Jésus mange devant ses disciples et avec eux

 

 Mais il leur dit : Pourquoi êtes vous troublés, et pourquoi pareilles pensées s’élèvent elles dans vos cœurs ?  Voyez mes mains et mes pieds, c’est bien moi ; touchez moi et voyez, un esprit n’a ni chair ni os, comme vous voyez que j’ai. Et en disant cela, il leur montra ses mains et ses pieds.

 Comme, dans leur joie, ils ne croyaient point encore, et qu’ils étaient dans l’étonnement, il leur dit : Avez vous ici quelque chose à manger ?

 Ils lui présentèrent du poisson rôti et un rayon de miel. Il en prit, et il mangea devant eux.

                                   Luc 24 : 38  à 43 

Jésus leur dit : Venez, mangez. Et aucun des disciples n’osait lui demander : Qui es tu ? Sachant que c’était le Seigneur.

 Jésus s’approcha, prit le pain, et leur en donna ; il fit de même du poisson.

 C’était déjà la troisième fois que Jésus se montrait à ses disciples depuis qu’il était ressuscité des morts.   Jean 21 : 12 à 14

 

Voici les références d’un écrivain respecté et bien connu du premier siècle qui soutenait la résurrection de Jésus. Ses écrits ont survécu, fidèles aux documents originaux, car de nombreuses personnes ont soigneusement recopié ses livres et ses lettres mot-à-mot et les ont partagés avec d'autres. Il s’agit de  Josèphe 37 ans après Jésus.

L'historien juif le plus connu du premier siècle, Josèphe, a écrit dans Antiquités judaïques : " Cet homme était le Christ... Pilate l'a condamné à la croix... Il leur est apparu, vivant, le troisième jour." Même les érudits les plus hostiles de notre époque qui croient que les écrits de Josèphe ont été modifiés à la faveur du christianisme, sont d'accord qu'il faisait clairement référence à la résurrection de Christ.

 

L’importance de la résurrection de Jésus et notre foi

 

Or, si l’on prêche que Christ est ressuscité des morts, pourquoi quelques–uns parmi vous disent ils qu’il n’y a point de résurrection des morts ?

 S’il n’y a point de résurrection des morts, Christ non plus n’est pas ressuscité.

 Et si Christ n’est pas ressuscité, notre prédication est donc vaine, et votre foi aussi est vaine.

Il se trouve même que nous sommes de faux témoins à l’égard de Dieu, puisque nous avons témoigné contre Dieu qu’il a ressuscité Christ, tandis qu’il ne l’aurait pas ressuscité, si les morts ne ressuscitent point.

Car si les morts ne ressuscitent point, Christ non plus n’est pas ressuscité.

 Et si Christ n’est pas ressuscité, votre foi est vaine, vous êtes encore dans vos péchés, et par conséquent aussi ceux qui sont morts en Christ sont perdus.

 Si c’est dans cette vie seulement que nous espérons en Christ, nous sommes les plus malheureux de tous les hommes.

                     1 Corinthiens 15 : 12 à 19

 

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