Le parfum de quel bouquet offrirai-je à Jésus ?
Afin d’illustrer nos propos nous allons comparer deux bouquets de fleurs, un petit bouquet lié composé de fleurs identiques. Et un gros bouquet sans lien, constitué par une multitude de fleurs épanouies.
Le parfum du petit avec toutes ses fleurs non épanouies, ligotées, qui se tiennent dans la crainte de recevoir des réprimandes?
Les fleurs de ce bouquet ne représentent pas des personnes du monde mais bien la situation de chrétiens dans certaines assemblées.
Le parfum du gros bouquet constitué de fleurs épanouies, heureuses d'exister ? Elles manifestent la reconnaissance à leur créateur de leur avoir donné la vie, la diversité de coloris, de taille, de parfums. Elles sont rassemblées et unies dans leur diversité, sans lien extérieur, mais par le lien du cœur, c'est-à-dire le lien de l’Esprit. Aucune ne domine sur les autres.
Les fleurs du petit bouquet sont le résultat des œuvres humaines ou de la chair, c'est-à-dire de Babylone.
Certes, le lien du premier bouquet semble offrir la sécurité, mais ce n'est qu'une fausse sécurité qui maintient dans une fausse soumission, dans la dépendance, le contrôle et la manipulation. Babylone vole à Dieu la personnalité, les talents, les dons, qu'il nous a accordés, pour donner de la puissance à la bête.
Ceux qui conduisent ce peuple l’égarent, Et ceux qui se laissent conduire se perdent. Esaïe 9 : 15
Ils poursuivent un même but et mettent leur puissance et leur autorité au service de la bête. Apocalypse 17 : 13
Dieu nous tient pour responsables si nous acceptons les contraintes, le moule de Babylone dans nos vies. C'est pourquoi à maintes reprises Dieu nous demande d'en sortir.
Et j’entendis du ciel une autre voix qui disait : Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n’ayez point de part à ses fléaux.
Apocalypse 18 : 4
Dans ce contexte, sortez signifie : s'échapper d'un pouvoir pour assurer notre sécurité et notre épanouissement. Sortir de Babylone, Dieu nous le demande fortement et la responsabilité de lui obéir nous appartient.
Quand nous nous tenons dans Babylone et son système, nous participons à ses péchés. Les fléaux dont Dieu la frappera nous atteindront également un jour.
Quel parfum offrons-nous ou dégageons-nous dans cette situation ?
Un parfum de vie ou de mort ?
Un parfum qui vient de l'enfer ou du ciel ?
Selon le parfum que nous dégageons, soit nous donnons la gloire à Dieu, soit à la bête, ce qui fortifie son autorité sur nos vies.
Quel rapport y a–t–il entre le temple de Dieu et les idoles ? Car nous sommes le temple du Dieu vivant, comme Dieu l’a dit : J’habiterai et je marcherai au milieu d’eux ; je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple.
C’est pourquoi, Sortez du milieu d’eux, et séparez-vous, dit le Seigneur ; Ne touchez pas à ce qui est impur, Et je vous accueillerai. Je serai pour vous un père, Et vous serez pour moi des fils et des filles, dit le Seigneur tout–puissant. Ayant donc de telles promesses, bien–aimés, purifions nous de toute souillure de la chair et de l’esprit, en achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu. 2 corinthiens 6 : 16 à 7: 1
Sortez du milieu d’elle, mon peuple, et que chacun sauve sa vie, en échappant à la colère ardente de l’Eternel ! Jérémie 51 : 45
Nous utilisons souvent ce passage de la Parole de Dieu pour prouver qu’un chrétien ne peut s’engager dans une alliance de mariage avec un incroyant. Oui c’est vrai. Il nous parle aussi de tout ce que nous avons reçu de Babylone et qui s’oppose au royaume de Dieu dans nos vies.
Quel est le parfum que je répands? La vie ou la mort ?
Grâce soit rendue à Dieu qui nous fait toujours triompher en Christ, et qui répand par nous l’odeur de sa connaissance. Nous sommes en effet, pour Dieu le parfum de Christ, parmi ceux qui sont sauvés et parmi ceux qui périssent.
Aux uns, une odeur de mort, donnant la mort, aux autres une odeur de vie, donnant la vie. Et qui est suffisant pour ces choses ? Car nous ne falsifions point La parole de Dieu, comme font plusieurs, mais c’est avec sincérité, mais c'est de la part de Dieu que nous parlons en Christ devant Dieu. »
2 Corinthiens 2 : 14 à 17
La véritable connaissance de Dieu résulte d’une succession de révélations. Elle ne s’acquiert que par un véritable engagement avec Jésus. Jésus nous donne la clé de la révélation, par le voile de sa chair brisée. Comme le voile du temple qui s’est déchiré quand Jésus a poussé un grand cri sur la croix avant de remettre son esprit à son Père.
Cela est bon et agréable devant Dieu notre Sauveur, qui veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité.
1 Timothée 2 : 3 et 4
Nous rappelons que la vérité n’est pas une idéologie, mais bien une personne : Jésus lui-même.
Ce passage de la Bible nous montre que sur terre, nous sommes des vases remplis de parfum pour Dieu : nous répandons le parfum de sa connaissance et le parfum de Christ. Les conséquences ou les réactions sont différentes. Ce parfum apporte soit la vie soit la mort. La vie pour ceux qui acceptent Christ et la mort pour ceux qui le refusent.
Bien entendu, ce parfum se manifeste dans le domaine spirituel. Avant d'accepter Christ dans nos vies, nous étions morts pour Dieu. Nous répandions un parfum de mort parmi les morts, c'est-à-dire les personnes qui étaient dans la même situation que nous, sans Christ. Répandre le parfum de mort parmi les morts n’implique pas de graves conséquences ni de grandes réactions dans notre environnement. Les hommes acceptent sans aucun problème tous ceux qui leur ressemblent ou vivent comme eux.
Par contre, lorsque nous avons accepté Christ, si nous libérons le parfum de vie parmi les morts, c'est-à-dire ceux qui refusent Christ, nous déclenchons des réactions contraires et hostiles. Elles peuvent amener la persécution et nous conduire à la mort.
Afin de le comprendre, nous allons illustrer cela par des faits et des pratiques que l'armée romaine employait et sur lesquelles s'appuie l'apôtre Paul dans ce passage que nous venons de lire.
Les prisonniers de guerre de l'armée romaine étaient emprisonnés jusqu'au jour de leur exécution. Ce même jour, la nation romaine célébrait, honorait ses héros, ses grands chefs militaires.
Ce jour était déclaré férié afin que la population puisse honorer par des ovations les chefs militaires, les vainqueurs. Le matin de ce jour, des hommes parcouraient les rues avec des torches enflammées qui répandaient un parfum dans toute la ville. Ce parfum, le vent le transportait dans les maisons, dans les cellules des prisons, en tout lieu. Il annonçait une journée de réjouissances pour les habitants de la ville, c'est-à-dire un parfum de vie. Ce parfum se répandait jusque dans les cellules des chefs militaires ennemis. Ils le respiraient et il leur annonçait leur propre mort pour ce même jour.
Et c'était le même parfum qui apportait ce message différent, opposé : la vie pour les uns et la mort pour les autres
Ensuite, le chef militaire qui devait être honoré était installé dans un char tiré par des chevaux, qui parcourait les rues de la ville. La foule en liesse assemblée sur les trottoirs environnants, ovationnait ce cortège triomphal du vainqueur. Derrière ce char étaient attachés et traînés dans la rue, le chef ou les chefs militaires ennemis capturés. Auparavant, ils avaient été dépouillés de leurs uniformes, de leur grade.
Voilà comment agit le parfum dont nous sommes porteurs, parfum de la connaissance de Christ, qui émane de nous, par nos paroles, nos attitudes, nos choix de vie, notre foi, notre témoignage, notre persévérance, notre caractère, la lumière qui se dégage de nous, le sel de nos paroles, la compassion, le pardon que nous accordons, le zèle que nous manifestons pour que l'évangile soit annoncé.
Ce parfum qui se dégage de nos vies manifeste l'adoration que nous adressons à notre Dieu et Père céleste et à notre vainqueur : Il (Jésus) a démasqué et puis désarmé les autorités et les dominations de l'enfer. Il a exposé leurs faiblesses devant l'univers. Il les a traînées derrière son char triomphal à la croix.Bible du Semeur Colossiens 2 : 15
Dans la Bible, le parfum symbolise la prière et surtout l'adoration. Dans l'Ancien Testament, chaque jour, un parfum d'une composition qui symbolisait les qualités de Christ, était offert sur l'autel des parfums du temple par un sacrificateur. Ce parfum s'élevait sous l'action du feu que Dieu avait fait lui-même descendre pour consumer le premier sacrifice offert sur l'autel des sacrifices du tabernacle.
Aujourd'hui, nous sommes ses sacrificateurs dans le monde, porteurs du parfum de Christ, et non plus les sacrificateurs de l’Ancien Testament : leur service s’exerçait uniquement à l’intérieur du temple, dans le lieu saint. Depuis que le voile du temple a été déchiré nous répandons ce parfum là où nous sommes, là où nous allons dans le monde. À condition d'avoir le feu de Dieu en nous, le feu du Saint-Esprit et bien sûr d’avoir accepté Jésus comme le Sauveur et le Seigneur de notre vie.
La Bible nous demande de remplir d’autres conditions
Car nous ne falsifions point La parole ou nous ne galvaudons pas la Parole. (version Darby) 2 Corinthiens 2 : 17
Falsifier vient d'un mot grec « kapeleuo» qui tire son origine de «kapelos» et signifie : revendre, faire du commerce avec la Parole de Dieu, corrompre, galvauder, frelater, faire un gain sordide en fournissant n'importe quoi. Les colporteurs avaient l'habitude de falsifier leurs produits pour l'amour du gain. Certains agissent de même avec la Parole de Dieu
C'est-à-dire que nous devons annoncer la Parole de Dieu en toute sincérité et comme venant de Dieu. Nous sommes responsables devant lui et alignons nos vies sur la Parole de Dieu, en la mettant en pratique.
À partir de ce moment-là, le parfum qui se dégage de nos vies ou plutôt le parfum que le Saint-Esprit libère de nos vies, sera un parfum de vie, qui produit la vie, pour ceux qui acceptent la vérité de l'Évangile. Et un parfum de mort, qui provoque la mort, pour ceux qui la refusent, avec toute l'hostilité que cela soulève. Nous le répétons, nous dégagerons ce parfum seulement si nous avons accepté la purification de nos péchés par le sang de Jésus. Enfin, n’oublions pas la sanctification par l’œuvre du Saint-Esprit. Ensuite, nous aurons besoin du feu du Saint-Esprit pour libérer ce parfum agréable aux narines du Père.
Voici une autre précision à retenir : 2 Corinthiens 2 : 14 « et qui répand par nous en tout lieu l’odeur de sa connaissance ». Cela signifie que plus notre connaissance de Jésus sera grande, plus nous serons en intimité, en communion avec lui, plus notre parfum sera fort : par la libération de sa Parole, de sa sagesse, de son amour qui se manifeste en actes, en choix de vie.
La réaction devant ce parfum dépend de la pureté, de la qualité du parfum qui émane de nous :
-Un accueil joyeux, enthousiaste par ceux qui se laissent interpeller par le message de la vie.
-Un accueil hostile par ceux qui sont enfermés dans les captivités du péché ou qui refusent de l’abandonner. Cette hostilité peut les conduire à persécuter, à désirer la mort de ceux qui portent ce parfum de Christ.
Ce parfum de vie ou de mort, nous le libérons dans le corps de Christ, selon que nous nous situons dans le premier ou le deuxième bouquet.
Car Christ nous invite à monter dans son char de vainqueur, son char royal. Jésus invite son Epouse et l'installe à ses côtés, dans son char triomphal. Aujourd’hui, nous les croyants, ne sommes plus comme la foule romaine, sur les trottoirs, positionnés en spectateurs. Jésus nous invite à monter à ses côtés dans son char de vainqueur traînant derrière lui les autorités et les dominations dépouillées et liées.
Voici une application de ce parfum répandu, que nous donne Jésus dans les Évangiles de Mathieu, Marc et Jean.
Comme Jésus était à Béthanie, dans la maison de Simon le lépreux, une femme s'approcha de lui, tenant un vase d'albâtre, qui renfermait un parfum de grand prix. Et pendant qu'il était à table elle répandit le parfum sur sa tête. Les disciples voyant cela, s'indignèrent, et dire : à quoi bon cette perte ?
On aurait pu vendre ce parfum très cher, et en donner le prix aux pauvres. Jésus, s'en étant aperçu, dit : Pourquoi faites-vous de la peine à cette femme ? Elle fait une bonne action à mon égard, car vous avez toujours des pauvres avec vous, mais vous ne m'avez pas toujours. En répandant ce parfum sur mon corps, elle l'a fait pour ma sépulture. Je vous le dis en vérité, partout où cette bonne nouvelle sera prêchée, dans le monde entier, on racontera aussi en mémoire de cette femme, ce qu'elle a fait.
Alors l'un des 12, appelé Judas Iscariot, alla vers les principaux sacrificateurs, et dit : que voulez-vous me donner, et je vous le livrerai ? Et ils lui payèrent 30 pièces d'argent. Matthieu 26 : 6 à 15
L'évangile de Marc 14- 3 nous donne quelques compléments : « et ayant rompu ou brisé son vase contenant un parfum de nard de grand prix ». Ce détail est important. L'évangile de Jean 12-3 nous donne également quelques renseignements supplémentaires : cette femme qui offre ce parfum de grand prix ou parfum de nard à Jésus se nomme Marie et il nous est dit que la maison fut remplie de l'odeur du parfum : un parfum d’amour et d’adoration.
L’évangile de Luc nous précise la situation de cette femme nommée Marie : une femme pécheresse : Et voici, une femme pécheresse qui se trouvait dans la ville, ayant su qu’il était à table dans la maison du pharisien, apporta un vase d’albâtre plein de parfum, et se tint derrière, aux pieds de Jésus. Elle pleurait ; et bientôt elle lui mouilla les pieds de ses larmes, puis les essuya avec ses cheveux, les embrassa, et les oignit de parfum. Luc 7 : 37 et 38
Il nous est donné également des précisions sur les motivations de Judas : Un de ses disciples, Judas Iscariot, fils de Simon, celui qui devait le livrer dit : Pourquoi n'a-t-on pas vendu ce parfum 300 deniers pour le donner aux pauvres ? Il disait cela, non qu’il se mît en peine des pauvres, mais parce qu'il était voleur, et que dans la bourse, il prenait ce qu'on y mettait. Jean 12:4 : 5
Voilà ce que relatent ces trois évangiles : Jésus se rend à Béthanie dans la maison d'un lépreux nommé Simon. Ce dernier invite Jésus à partager son repas. Jésus s'y rend avec ses 12 disciples. Lazare, que Jésus avait ressuscité des morts, s'y trouvait aussi en qualité d'invité. Pendant ce repas, une femme non invitée, nommée Marie, rentre dans la maison de Simon, casse son vase d'albâtre qui contient un parfum de grand prix, du nard, qu'elle répand sur Jésus. Voilà planté le décor de cette histoire.
Jésus accepte l'invitation d'un Pharisien et de plus lépreux. La lèpre symbolise, dans la Bible, le péché. Elle dégage des odeurs nauséabondes provenant de la chair rongée par la maladie, des odeurs de putréfaction. Elle rend impures les personnes qui en sont atteintes. En Israël, les lépreux étaient exclus de la société comme le péché nous exclut de la présence de Dieu. C'est une maladie répugnante et contagieuse. Voilà le parfum que Jésus respire en rentrant dans cette maison.
Ce lépreux, nommé Simon, dégage un parfum de mort et certainement que toute sa maison en est imprégnée, malgré tous les soins de son épouse. Il reçoit l'auteur de la vie, celui qui dégage les parfums du royaume de Dieu. Il ne saura pas saisir la grâce qui lui est offerte à cause de l'esprit religieux, l’esprit d’incrédulité, d’orgueil qui l’anime. Par contre, Marie repartira chez elle, ses péchés pardonnés.
C’est pourquoi, je te le dis (Simon), ses nombreux péchés ont été pardonnés, car elle a beaucoup aimé. Mais celui à qui on pardonne peu aime peu.
Et il dit à la femme (Marie) : Tes péchés sont pardonnés.
A ce moment, voici les pensées qui montent dans le cœur de Simon : « Si cet homme était prophète, il saurait qui et de quelle espèce est la femme qui le touche, il saurait que c’est une pécheresse » Luc 7 : 47 et 48
Pourtant cette même femme va changer l'odeur ou le parfum de la maison de Simon. Marie, en offrant son parfum de nard qu'elle répand sur Jésus, bouscule toute l'ambiance de la maison et provoque des réactions inattendues : chacun des participants de ce repas réagit selon l’état de son cœur.
Vous cher lecteur ou lectrice qui venez de lire ce message, sachez que vous estes aimé par ce Dieu créateur du ciel et de la terre. IL vous cherche, il attend que vous vous laissiez rencontrer avec lui. Car il a une destinée pour vous personnellement, un plan de bonheur, il désire que vous le connaissiez pour vous manifester son amour et que vous deveniez membre de sa famille. Il vous donne et vous ouvre le chemin qui accède directement à son cœur. Ce chemin se nomme Jésus, qui a dit : Je suis le chemin, la vérité, la vie, nul ne vient au Père que par moi. Jean14-6
Jésus vous dit: Voici je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi. Apocalypse 3-20
Oui Jésus frappe à la porte de ton cœur, il attend que tu lui dises de rentrer. C’est très simple, car Dieu est simple. Il suffit de lui adresser cette prière bien simplement mais bien sincèrement:
Seigneur Jésus je te remercie de ton amour et de ce que tu es venu dan le monde mourir pour moi. Je reconnais que j’ai dirigé ma vie, jusqu’à présent, comme je l’ai décidé et qu’aussi j’ai péché contre toi. Je crois que tu es mort sur une croix et que tu as versé ton sang pour que j’aie le pardon de mes péchés. Je veux te recevoir dans ma vie et obtenir le pardon de mes péchés. Et je t’invite dans mon cœur pour que tu prennes la première place, que tu sois mon Seigneur et que tu diriges ma vie, selon tes lois.
Merci pour le pardon de mes péchés. Fais de moi la personne que tu désires que je sois. Je crois que tu es vivant, ressuscité. Je te remercie d’avoir répondu à ma prière et d’être maintenant dans ma vie.